Rêver plus grand, plus près

Ça a été ma leçon de cette semaine. Un tas de petits événements m’ont fait réaliser à quel point, parfois, je rêvais petit, même en rêvant grand.

Tout a commencé avec le fantasme d’une maison. Je m’imagine vivre dans une grande et belle maison, entourée d’arbres, qui soit bien éclairée, avec un bel atelier… mais, un jour…

Parce que, faut pas déconner, ce genre de choses prend du temps.

Alors en attendant, je ne me projette pas vraiment, je me ‘contente’ de rêver, sans vraiment agir dessus. Parce que vous comprenez, c’est loin tout ça.

Je me suis bien amusée à dire que je voulais gagner un million par an, d’ici trois ans. J’y crois, je sais que c’est absolument possible. Mais une partie de moi se dit que j’y avance doucement, tranquillement. Alors… un jour.

Eh puis, il y a cette petite voix dans ma tête qui se dit qu’un jour, je serai connue pour mes livres, mon message, mon écriture. Que je passerai à la télé, au Grand Journal puis chez Oprah. Et que bien sur, comme j’agis tous les jours, j’avance tranquillement vers ça. Alors oui.. un jour, bien sur, bientot.

Et ces derniers jours, j’ai réalisé que… mes rêves, ceux-là en tout cas, restaient des rêves. Je les projetais à loin dans le futur, avec comme pensée sous-jascente : « ma réalité d’aujourd’hui ne me le permet pas. »

Combien de décisions a-t-on prises parce que… la réalité d’aujourd’hui ne le permet pas.
Combien de choses n’a-t-on même pas ESSAYÉ de faire, car aujourd’hui, les contraintes de notre quotidien ne nous le permettent pas ?
On prend nombre de décisions basées sur les contraintes, par exemple :
– Avec l’argent que je gagne chaque mois, je peux m’acheter un 2 pièces à tel endroit ;
– Avec la santé que j’ai, je ne peux pas courir un marathon, peut-être 5 kilomètres ;
– Avec le corps que j’ai, je ne rentre pas dans cette robe rouge que j’adore…

Et ça, c’est réfléchir à l’envers.
C’est réfléchir à partir d’une position de MANQUE et non à partir d’une position de POSSIBILITÉ.

A la place, on peut se dire :
– C’est décidé, je vis dans une grande maison avec 5 chambres… quelle action je peux faire pour me rapprocher de cela ?
– C’est sur ! Cette année, je cours un marathon ! Allez hop, je m’y mets.
– Cette robe est canon, elle me va à ravir ! (je la prends à ma taille, tout simplement).

Nous réfléchissons à l’envers, à partir de ce qui est disponible aujourd’hui. Alors qu’évidemment, tout ce qu’on veut n’est PAS disponible aujourd’hui là, tout de suite, maintenant. Sinon on ne le voudrait pas.

Ceci dit, cela peut arriver vite, très vite.

Car il suffit parfois d’un pas, d’une action dans la direction de ce que l’on veut. Il suffit d’oser aller au delà du rêve et de le transformer en projet pour que cela devienne notre nouvelle réalité !

J’ai compris alors que…

La grand maison dont je rêve, rien ne m’empêchait de l’avoir cette année, ou ce mois-ci, ou demain.
La seule chose qui me bloque c’est ‘comment’. Mais si je m’autorise à croire que les choses peuvent se faire d’une manière hors de mon contrôle, magiquement, de façon fluide. Alors… pourquoi attendre ? Pourquoi vivre dans ma contrainte actuelle, et pas décider que c’est le moment pour la grande villa ?

Eh puis, les millions dont je fantasme (pour changer le monde et devenir Richard Brandson en femme), eh bien dans la nuit de mardi à mercredi, j’ai commencé à calculer, et j’ai réalisé que… si je fais 10 000 de revenus supplémentaires par mois, j’atteins 100 000 euros de revenus par mois d’ici novembre. Si je maintiens cela, alors en 2018, j’ai généré 1.2 millions en TTC, 1 million en HT. En 2018. Là. L’année prochaine.

Je pensais que c’était possible. Mais pas forcément POSSIBLE, là tout de suite maintenant, pour moi.
Et pourtant… si je le décide, si je l’emmène dans ma réalité actuelle, si je décide que ma réalité devient ça, alors ça peut.
Parce que je vais agir dans la direction…
Gagner 100 000 euros par mois va devenir normal pour moi….

Finalement, c’est à nous de décider…

Notre nouveau « Normal »
Notre nouvelle réalité.

Si on peut le concevoir, alors c’est possible.
Si on peut le concevoir, alors c’est déjà là.
Si on peut le concevoir, alors il ne tient qu’à nous d’avancer dans la direction.

A nous de nous autoriser à faire un pas vers.

Et d’arrêter de nous laisser enfermer dans nos contraintes du quotidien.

Rêver grand, et surtout, rêver proche.

En fait, arrêter de rêver.
Transformer les rêves en projet.
Et agir, dès maintenant.

Notre réalité peut changer en un instant.

Lyvia, Libératrice du Feu, en route pour le million (en 2018, ha !)

PS : 55 personnes se sont inscrites au programme MoneyMoneyMoney (et il y a encore une ou deux inscriptions de dernière minute^^)
Ce n’était techniquement pas ‘possible’. Pas avec la taille de ma communauté. Pas selon les règles de base du marketing. Et pourtant. Tout s’est passé un peu par magie.
J’ai agit. Tous les jours, de façon inspirée. Et le programme a rencontré son public.
Les trois choses qui ont joué : l’état d’esprit, l’action inspirée, eh puis.. j’ai beaucoup vendu aussi !

Et ce matin, j’ai eu une idée fulgurante :

J’organise un workshop en ligne pour vous dire pas à pas comment j’ai fait le lancement de #MoneyMoneyMoney, comment j’ai gagné 55K sans même comprendre ce qui m’arrivait, et je vous raconte :�- Les exercices d’écriture et d’état d’esprit que j’ai mis en place chaque matin ;�- Les actions inspirées que j’ai choisi de faire, et les choses que j’ai décidé de ne pas faire ;�- Comment j’ai vendu, et ce que j’ai eu à dépasser comme blocages pour le faire.

Et j’y intègre ce que je pensais faire sur mes deux autres workshops (‘je suis génial-e, tu achètes mon produit?’ et ‘comment je vends ça?’)

Résultat : vous avez des bases super solides pour vendre à votre tour, et un cas concret sur lequel vous appuyer.

100 euros, payable en 3×40 euros pour les petits budgets (et offert aux inscrits à #MMM). BOOM.

Cela vous intéresse ? Commentez avec un YESSSS et vous serez les premiers au courant.

Ce sera vraiment, vraiment bien.

PPS : idéal pour ceux d’entre vous pour qui c’était un peu trop tôt pour #MMM, et qui veulent tout de même bosser sur leur rapport à l’argent.