Se sentir en sécurité – dans ta vie, tes relations et ta sexualité
19h14 quand j’écris. ‘When I see you’ de Fantasia joue en fond, et je me dis qu’il est temps de me poser pour écrire touuuut ce qui s’est passé pour moi et que j’ai compris ces derniers jours.
Honnêtement, c’est beaucoup. This is big. Et c’est important pour moi de mettre les mots, pour processer et partager.
Je t’invite à t’installer confortablement et à partager avec moi ce moment.
Dans cette newsletter, je t’en dis plus sur un process émotionnel que j’ai traversé ces derniers temps.
On y parle de :
- Paiement de dette, et de résolution de trauma financier
- Relation toxique et émotionnellement abusive
- Traumas liés à la sexualité / consentement (sans description)
Si ces thèmes sont lourds pour toi, ou que tu n’es pas régulé-e au moment de lire, je t’invite à prendre ton temps.
Tu peux lire maintenant, remettre à plus tard, ou simplement lire par parties.
Tu trouveras une version de cette newsletter sur le site, qui sera probablement plus confortable à vivre pour toi. LIEN
En bas de ce mail, tu trouveras aussi deux liens pour des lives dans lesquels j’aborde ces sujets à l’oral.
Okay, let’s go.
I. Comment un trauma financier s’est résolu, et le deuil qui va avec.
Tu le sais sûrement maintenant, il y a 4 ans, je me suis retrouvée très endettée. Et l’année dernière en 2021, solder cette dette est devenue ma priorité.
Il y a deux semaines, j’ai soldé la dette la plus grosse de toutes.
C’était une dette initiale de 70 000 euros. Et ce n’est pas tout. C’est une dette qui a causé aux impôts de demander la fermeture de ma société. Eh oui, deep stuff.
Il y a quelques semaines, ma société devait comparaitre en justice pour faire état de cette dette. L’idée pour eux est de vérifier que l’échéancier était bien respecté, ce qui était le cas.
Et, aussi, j’avais vraiment, vraiment envie de l’avoir totalement soldée avant. Cela me semblait lourd, et impossible – quelques jours avant, je me trouvais en session de soin des traumas à pleurer comme une madeleine car j’en avais tellement assez.
J’étais fatiguée de ce poids sur mes épaules. Et pour une fois, j’avais envie que quelqu’un vienne me sauver. J’ai imaginé comme ressource un Sugar Daddy qui me couvrirait d’argent et réglerait tous mes problèmes. J’ai pleuré et j’ai prié que cette situation s’apaise.
Et puis, comme par magie, j’ai eu du soutien pour solder ma dette. Un soutien inattendu qui m’a complètement chamboulé. Quelque chose que je n’osais pas espérer.
J’ai fait tous les virements nécessaires, et la dette était soldée. Et la comparution au tribunal a duré cinq minutes – j’y étais représentée par quelqu’un de cher. Tout était réglé.
Jusqu’à avoir la confirmation que tout était bon, j’étais en freeze, j’ai retenu mon souffle, je n’en dormais pas la nuit. J’ai poussé un vrai soupir quand le Monsieur des impôts m’a appelé, très jovial, comme si de rien n’était, pour me dire qu’il y avait même un trop perçu qui me serait remboursé. J’étais morte de rire. J’avais réussi à payer 43 euros de plus que nécessaire.
Et j’ai pleuré. Et j’ai ri. Et j’ai commencé à réaliser la légèreté que j’avais désormais, et le poids, du coup, que cette dette avait représenté pendant toutes ces années.
J’étais à la fois heureuse et soulagée, et à la fois triste de tout ce que j’ai du prendre sur moi, compenser, pour garder le cap dans ma vie et ma société, et être apaisée.
J’ai fait tellement de travail sur moi pour aller bien, pour maintenir ma joie, mon énergie, ma paix à travers tout ça, et c’est seulement quand ce poids est parti que j’ai réalisé ce qu’il représentait.
Et j’ai été triste. J’ai été triste pour la Lyvia du passé qui avait eu tout cela à traverser, et à comprendre. Qui avait été bien des fois seule face à elle-même. J’ai été triste pour la honte, la peur, et la culpabilité qu’elle avait ressenti, alors qu’elle avait fait de son mieux, et que rien de tout ça n’était vraiment sa faute, même si c’était sa responsabilité.
J’ai pleuré son insouciance, tout ce qu’elle aurait pu être et faire si elle n’avait pas dû rapidement être à la tête d’un bateau qui traversait la tempête.
Et j’ai célébré. J’ai célébré son courage, sa persévérance, sa ténacité.
Et je lui ai dit merci. Merci de ne pas avoir abandonné, merci d’avoir tenu le cap. Merci d’avoir ouvert son coeur pour recevoir tout l’argent nécessaire pour rembourser. Et d’avoir utilisé sa créativité pour transformer sa situation, sa vie, et la vie de milliers personnes sur le chemin.
Je me suis sentie…enfin capable de me reposer. Plus dans l’urgence de courir sans arrêt pour rattraper le temps perdu.
Et enfin, c’était plus facile d’être. D’exister.
Le truc c’est que…une fois ce poids très lourd, qui était présent depuis des années, enlevé, autre chose a fait surface.
II. Dire adieu à une relation toxique et ce qu’elle représente.
Le souvenir de ma relation toxique avec mon ex d’il y a 4-5 ans est remonté.
Je lisais un roman où l’homme était émotionnellement abusif, et dans de nombreuses descriptions, j’ai reconnu la relation que j’avais à l’époque. La façon de s’exprimer, de rabaisser l’autre, d’appuyer où ça fait mal.
J’ai accepté que ma relation passée était non seulement toxique, mais que mon ex (appelons-le G.) était émotionnellement abusif envers moi. J’estime qu’une relation est toxique, mais qu’une personne n’est pas ‘toxique’. C’est la dynamique qui l’est.
Déjà admettre que cette ancienne relation était toxique a mis du temps. Et maintenant réaliser que mon ex était émotionnellement abusif, ça a fait étrange.
Et pourtant, c’était le cas. Je lui ai pardonné, et je ne lui en tiens plus rigueur. J’espère qu’il va mieux et qu’il a pu soigner ses propres blessures du passé.
En attendant, dans cette relation, j’étais un peu comme un moustique qui se faisait écraser régulièrement par un pouce géant…. le pouce insistant que c’était ma faute si je me laissais écraser. Bref.
En lisant cette relation abusive dans le roman, je n’ai pas été déclenchée, c’était juste une information, du langage en plus qui me permettait de mieux comprendre ce qui s’était passé.
Cependant, cela m’a fait réaliser quelque chose.
Je me suis rendue compte qu’à l’époque, quand j’écrivais et transmettais exclusivement sur le business, l’argent, l’alignement, j’était beaucoup plus transparente. Je disais les détails de ce qui se passait pour moi, sans timidité car je savais à quel point cela pouvait aider.
Mais… je n’ai pas été aussi transparente sur ma sexualité et mes relations. J’ai toujours eu un peu de retenue à partager ‘mon’ histoire. Répondre aux questions, coacher, être là pour les autres, aucun souci. Mais il y avait une chose qui me retenait de dire : ‘voici ce qui m’est arrivé, voici ce qui s’est passé pour moi’ — peut-être as-tu observé cette différence dans ce que je partage toi aussi.
Or, raconter ce qui se passe pour moi est ma façon la plus fluide de transmettre et d’enseigner. Et j’ai compris que je ne m’exprimais pas librement sur les relations et la sexualité.
III. La petite voix
Pourquoi ?
Parce que j’entendais dans mon esprit la voix de mon ex qui se moquait de moi : « tu étais frigide dans notre relation, tu parles de sexe maintenant ? » « Attends, toi, experte en sexualité, c’est une blague ? » « non mais tu crois que c’est toi qui va apprendre aux gens comment on est en relation, regarde comment ça s’est passé pour nous ! ».
La présence de cette voix était subtile, toute fine, comme une énergie légère qui se place sournoisement entre d’autres pensées et m’empêche de m’ouvrir et m’exprimer.
Pour être 100% honnête avec toi, cette petite voix, je l’entends depuis la première fois que j’ai écrit publiquement sur la sexualité, en juin 2017. J’ai juste appris à l’étouffer et à avancer malgré elle.
La sexualité était un point difficile dans notre relation (j’en parle plus dans le live #1 ici)
J’avais peu de libido, c’était difficile pour moi d’avoir un orgasme, j’avais le coeur tout serré quand je faisais l’amour, et cela créait beaucoup de tensions et de disputes entre nous. Le résumé de son ressenti par rapport à ça est une phrase qu’il m’a dite et que je n’ai jamais oublié : « j’ai fait l’amour avec des femmes sexuellement libérées, et ça ne donne pas ça, c’est plus agréable qu’avec toi ». Ouch.
Et il se moquait de moi dans notre relation aussi. Il trouvait que mon travail c’était de la poudre aux yeux et que mes clients étaient des pigeons (au début de mon business, quand je parlais de créativité et de reconversion). Alors que j’aimais profondément mon travail, et mes clients.
J’ai étouffé cette voix pendant des années pour faire le travail auquel j’ai été appelée. J’ai étudié, j’ai fait mes certifications, j’ai coaché, j’ai accompagné, et j’ai tout fait pour qu’elle ne me freine pas.
Cependant, là j’étais prête à l’écouter, et à regarder bien en face cette histoire qu’elle avait inventée : que je n’étais pas assez bien.
IV. Ça n’avait rien à voir avec mon ex, et Dieu merci !
Je me suis faite coacher par une collègue, en soin des traumas. Je lui ai parlé de cette petite voix qui m’empêchait d’être pleinement transparente. Que maintenant, je l’avais identifiée comme étant celle de mon ex, et que je voulais m’en débarrasser, une fois pour toutes. Car j’étais prête à prendre toute ma place dans mon expression.
En faisant le travail par le corps, j’ai appelé comme ressource l’eau.
Je me suis imaginée sur une grande étendue d’eau, flotter sur la mer. Et là nous avons fait venir l’idée de mon ex, et de cette voix. Très rapidement, la mer m’a fait comprendre que sa voix n’était même pas une goutte d’eau dans l’océan, qu’elle n’avait pas beaucoup de poids, et que j’avais le soutien de toutes les eaux de tous les océans pour faire mon travail. Un travail très important.
Alors doucement, la voix s’en est allée. Je me suis dit : ah ben, c’était facile.
Jusqu’à sentir une douleur dans le ventre.
Le ventre, dans notre pratique du soin des traumas symbolise l’enfance, et les besoins.
J’ai navigué jusqu’à mes 18 et 20 ans, et j’ai compris de nombreuses choses sur moi, sur mes relations, et ma sexualité.
V. Quand tu manques de sécurité
Je me suis revue après une relation avec mon deuxième petit ami (on va l’appeler E.), qui elle, a duré 5 ans. J’avais eu deux petits copains, un quand j’avais 15 ans, pendant quelques mois, et E, pendant plus longtemps, quelques années.
Dans ces deux relations, et ma relation longue avec E. surtout, je me sentais très en sécurité, notamment dans ma sexualité. J’étais écoutée, respectée, et par E. clairement aimée et protégée. Notre relation n’a pas duré car nos visions de la vie à cette époque n’étaient pas compatibles. Mais c’est quelqu’un qui m’a toujours bien traité.
Après cette relation, j’ai voulu explorer.
En fait, depuis très jeune, j’étais très, très curieuse dans ma sexualité. J’étais avide de tout, de toutes les infos que je pouvais trouver. Je trouvais des livres érotiques dans le grenier et je les dévorais. Je voulais tout comprendre. J’explorais mon corps aussi, j’essayais de comprendre l’intérêt que les gens avaient pour la sexualité.
Une partie de moi ne le voyait pas vraiment (l’intérêt), et l’autre avait très envie de le trouver.
Du coup, mon désir d’exploration date de bien, bien avant mon ex toxique, et bien avant mes relations plus saines.
C’était une révélation pour moi de réaliser ça. De me dire que la voix de mon ex n’avait vraiment aucun poids, car dans mon essence, j’étais déjà fascinée par le sujet que j’explore actuellement.
Revenons-en au sentiment de sécurité. Avec E., je me sentais très en sécurité, puis la relation s’est arrêtée, et j’étais avide d’exploration.
Je voulais tout vivre, et je voulais tout ressentir. Ma muse c’était Samantha dans Sex and the City.
Alors j’ai eu des expériences mais… dans ces expériences je n’étais pas en sécurité.
Je ne suis pas allée plus loin dans cette session de coaching ci. J’ai juste ressenti beaucoup de tristesse pour la jeune femme que j’étais qui voulais explorer le plaisir, et n’était ni sécurisée, ni guidée pour le faire.
VI. Trauma sexuel ?
Trigger warning – je ne mentionne rien de graphique, mais peut être sensible.
Dans une nouvelle session de coaching, j’ai compris un peu plus sur cette phase de ma vie, qui a duré entre mes 21 ans disons, et mes 32 ans. 21 ans quand j’ai quitté E. Et 32 ans quand j’ai commencé à sortir sérieusement avec une nouvelle personne après avoir quitté G.
Pendant toute cette époque, j’ai connu de nombreux moments d’exploration sexuelle où je n’étais pas en sécurité.
Où mes besoins n’étaient pas écoutés, ou mes limites ont été dépassées, où j’ai dit oui alors que mon corps criait non.
J’ai menacé l’intégrité de mon propre corps en allant chez des personnes qui pourraient me mettre en danger. J’ai failli connaître une agression sexuelle violente.
Et alors que je te parle, j’ai le ventre qui se tend de nouveau. La version plus jeune de moi qui a vécu toutes ces expériences avait envie d’explorer, de vivre, de ressentir des choses, qu’elles soient romantiques ou sexuelles, et n’avait aucune idée de comment le faire en étant en sécurité.
Encore aujourd’hui, l’éducation sexuelle se concentre sur la peur (attention, tu vas avoir des MST, tu vas tomber enceinte, les hommes sont mauvais), et ne dit rien sur ce plaisir, cette envie naturelle de ressentir avec le corps.
J’avais appris à dépasser ma peur, et à aller vers l’excitation, et il y a un certain courage dans cela, un certain plaisir, un frétillement. Mais je ne savais pas écouter le plaisir dans mon corps. Je ne savais pas le consentement par le corps, pas seulement par l’esprit.
Je n’avais pas appris.
Et encore une fois, je me suis sentie endeuillée de cette jeune femme. Qui voulait simplement explorer toute la vibrance et la magie que son corps pouvait lui procurer, mais qui n’avait pas les repères pour le faire en sécurité.
Et… c’est du trauma. Ce n’est pas du trauma comme on le connait typiquement.
Mais cela crée une empreinte dans le corps qui éloigne de l’essence.
Et aujourd’hui, je célèbre de me sentir assez en sécurité pour explorer et travailler une couche de plus, et enfin effacer cette empreinte.
VII. Petite pause ressource.
Inspire, expire. Écrire ces quelques mots était un peu lourd pour moi dans le corps.
Ainsi je fais une petite pause pour inspirer, expirer, redescendre dans mon corps et dans l’instant présent.
Je t’invite à faire de même.
Voilà une chanson que j’ai écouté en écrivant. Je la trouve très douce.
On arrive à la fin de ce partage, merci de m’avoir lue jusqu’ici.
VIII. Une nouvelle étape pour moi
Ma certification en soin des traumas se termine. Dans le cadre de cette formation, j’étais coachée par une femme formidable. J’ai pris la décision de continuer d’être coachée par elle.
Non seulement pour résoudre ce qui émerge en ce moment, et aussi pour pouvoir enseigner, partager, tenir l’espace en restant intègre. Je me nourris de ma propre médecine.
Et dans quelques mois je pense aussi me faire accompagner en coaching sexo, pour coupler le soin avec du plaisir, of course 🙂
Maintenant que j’ai compris tout cela, j’entame à la fois un chemin de soin, de compassion et de réassurance de la jeune femme que j’ai été, et en même temps, je me reconnecte à son essence même.
Celle qui est vive, curieuse, qui veut tout vivre et tout ressentir dans son corps. Et c’est elle que je souhaite incarner.
J’ai déjà plein d’idées pour lui donner plus de place.
Notamment, la sexualité se vit dans le corps et l’imaginaire.
Ainsi, j’ai envie d’expérimenter encore plus de sensations dans mon corps, que ce soit seule, ou à deux. Et j’ai envie de pousser mon imaginaire, mes fantasmes, grâce à l’écriture par exemple.
Expérimenter toutes ces sensations dans mon corps, et mon esprit, tout en me sentant en sécurité.
IV. Ce que ça change pour toi
À partir de maintenant, je vais être plus transparente sur ma sexualité et mes relations.
C’est assez fou. Tout ce processus m’a validé encore plus sur le travail que je veux et que j’ai choisi.
Ce que je veux profondément, c’est que toi aussi, tu te sentes en sécurité à explorer ton plaisir et ta sexualité. Que tu reconnectes avec cette envie et cette curiosité. Et que si une part de toi par le passé n’a pas connu cette sécurité, tu aies les outils pour la soigner.
Les deux modalités qui m’ont le plus aidées, dans ma vie, que ce soit sur le plan professionnel et le plan personnel, sont le soin des traumas et le coaching en sexualité 🙂 Ainsi c’est aussi ce que je veux t’apporter en priorité.
Je partagerai ce qui vient, sur tous les sujets qui viennent.
Pourtant, ma mission ne m’a jamais paru aussi nette que maintenant.
Car je le fais pour les enfants.
Et je le fais pour l’enfant que j’ai été.
Et ça fait vraiment, vraiment du bien de reconnaître cela.
Je me sens très claire, motivée, déterminée, et accompagnée.
J’ai la sensation que plus rien ne peut m’arrêter. Car j’ai les clés pour avancer.
La transparence, c’est enlever toute barrière entre nous. C’est dépasser la peur de ‘l’autre’ et admettre que nous sommes UN. Nous sommes UN à naviguer la vie, et nos histoires nous lient.
J’ai compris beaucoup, j’ai vécu beaucoup, j’ai appris beaucoup, du moins comme du moins bon, et aujourd’hui, je suis prête à raconter pour qu’encore plus de personnes se sentent en sécurité dans leur sexualité, et puissent explorer leur plaisir.
Ne pas avoir peur de ma propre vérité, et réaliser qu’au contraire, elle peut nous connecter et nous lier.
X. Liens
1 – Tu souhaites commenter cet article ? Je t’invite à le faire sur le site ici. Je serai ravie de te lire, et de savoir ce qui t’a le plus parlé. Est-ce que tu te reconnais dans des bouts de mon histoire ?
J’ai fait cette semaine deux lives qui ont eu beaucoup d’impact sur les personnes qui les ont vus :
Ici je te parle un peu du processus émotionnel que je décris ici. Celui qui va de ce poids financier qui s’est enlevé, à la réalisation que la jeune femme que j’ai été a maintenant besoin d’être vue et reconnue.
Ici, je parle plus en détail des relations toxiques : comment faire pour identifier que tu es dans une relation toxique, comment en sortir, et quelle est la différence avec une relation saine. Ce live est précieux, je t’invite à le regarder.
3 – Comme je le disais, les modalités qui m’ont le plus aidées sont le soin des traumas, et le coaching en sexualité. Ce sont deux outils qui sont explorés dans mon programme, Les 8 portes. Les 8 portes est un programme sur plusieurs mois, où l’on explore plusieurs aspects de ta sexualité, pour plus de plaisir et de libération. Clique ici pour t’inscrire sur la liste d’attente et faire partie des premières personnes au courant de l’ouverture des ventes.
(Note qu’il est possible que je lance une autre offre avant que je réouvre ses portes, je verrai, je me laisse porter par le souffle de l’inspiration.)
Et voilà,
Merci de m’avoir lue 🙂
Ton attention est précieuse pour moi.
Si une part de cette newsletter t’a parlé, n’hésite pas à en faire une capture d’écran et à la partager dans ta story Instagram en me taggant. Ça me fait toujours du bien de savoir l’impact que mes mots ont.
Je te souhaite une fabuleuse fin de journée, et je te dis à bientôt.
Plein d’amour !
Et n’oublie pas : tu mérites le meilleur,
Lyvia
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Commentaires
1 commentaire
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Je suis Lyvia Cairo
Écrivain, coach en relations et en sexualité, spécialisée en soin des traumas.
Et je suis là pour t'aider à te sentir beaucoup mieux dans ta vie.
Bravo Lyvia pour ta transparence, ton courage, ta dévotion. Je salue en toi celle qui a soldé ses dettes, qui a regardé clairement son rapport à la sexualité, qui a laissé partir la voix critique de son ex !
Merci d’exister et de faire ce que tu fais !