VOICI POURQUOI JE SUIS SUR TERRE

On a tous ce moment, cette période de notre vie où l’on se demande… pourquoi on est là ?
Une partie de nous à ces bribes de réponses…’je suis là… pour aider… pour soigner…’.

Ces questionnements arrivent souvent à des tournants de nos vies. Je me rappelle très bien quand cela m’est arrivé à moi. Un jour de printemps 2013, à regarder une feuille Excel et à me demander : qu’est-ce que je fous là ? Est-ce que c’est ça ma vie ?

J’étais consultante dans un grand cabinet à Londres, et il m’a fallu 3 ans pour réaliser qu’on avait beau essayer couvrir notre job d’une belle couche de brillants, en se disant socialement et économiquement responsables, nous n’étions rien d’autres qu’un groupe de gosses bien élevés en costume qui étaient là pour rendre des entreprises multinationales très riches, encore plus riche.

Quelque chose clochait et à l’époque, je me disais que c’était parce qu’au fond de moi, j’avais toujours été une artiste. Le nez dans les livres, la tête dans les nuages, les doigts plein d’encore car je passais mon temps à écrire et à dessiner.

J’ai eu le courage de quitter ce job. J’avais terriblement peur car le chemin tout tracé était tout ce que je connaissais.

En fait, je ne savais pas ce que je pouvais apporter au monde. Je me sentais plutôt présomptueuse de me dire que je pouvais apporter davantage que ce que je faisais déjà. Pour qui je me prenais. Heureusement cette pensée n’a pas été assez pour me freiner.

J’ai reçu du soutien et de l’encouragement sur le chemin. Et je me retrouve, 4 ans plus tard, dans une salle de cinéma à Brooklyn, NYC, à pleurer et à me dire, en boucle, en boucle, en boucle : c’est pour ça que je fais ce que je fais. C’est pour ça que je me lève le matin.

La question : ‘quelle est ma voie ?’ ‘Quelle est ma mission de vie ?’ Est celle que je vois posée constamment par mes lecteurs. Et je réponds souvent : tu sais. Peut être que ton esprit ne sait pas, mais au fond de toi, quelque chose sait.

Et il n’y a pas de formule magique pour le révéler. Cela demande de creuser, creuser, et surtout, s’autoriser à être qui tu es.

Il y a quelques jours, j’ai parlé à une medium, Eloise. Eloise m’a dit des choses sur moi que j’avais peine à croire. Et que pourtant je ne pouvais pas nier. Des choses à l’encontre de ce que je m’autorisais à être, en quelque chose. Et qui pourtant faisaient partie de mon identité.

Elle m’a confirmé ce dont je me doutais. Que j’ai des dons – comme tout le monde, je pense – mais les miens sont très développés (cela fait longtemps que tu es sur Terre, elle m’a dit). Ça fait bizarre de mettre les mots à l’écrit, j’essaie de m’habituer. Je suis clair-voyante, clair-audiente, clair-sentiente, et clair-cognizante. Clair-tout quoi. Cela veut dire que j’entends des choses, que je vois des choses, que je sens des choses et que je sais des choses. Qui ne sont pas visibles. J’aurais aimé lui dire qu’elle avait tort, mais j’ai expérimenté tout cela.

Elle m’a parlé de ma mission de vie – je vous en ai parlé aussi – qu’en ce moment, il s’agissait de se tourner vers les femmes et sûrement ensuite les enfants.

C’est une chose de le savoir.

C’est autre chose de le sentir.

Ce soir, dans la salle de cinéma, donc, je regardais un film, Step. Sur de jeunes noires américaines au lycée, qui dansent et à la fois tentent de rentrer à l’université. La plupart de familles modestes, voire pauvres, à lutter avec un système universitaire qui demande entre 20000 et 60000 $ par an pour étudier (WTF America ?). Sans bourse et sans prendre sur soi une dette colossale, c’est impossible d’étudier.
Et je vois ces filles danser, se motiver, trouver la force dans les pas. Je les vois pleurer parce que toutes ces années leurs parents ont tenté de remplir un frigo vide. Et danser. Et bosser. Et avoir l’espoir qu’elles, elles s’en sortiront.

Et j’ai pleuré. Parce que c’est pour ça qu’on m’a mis sur terre.

Une de mes cousines m’avait dit: tu es une femme, ça va rendre ta vie difficile. Tu es une femme noire, c’est le pire possible. Dans le film, la prof de danse disait : en tant que femmes noires américaines, on est en bas de l’échelle. Devant le mémorial d’un jeune homme qui venait d’être tué. Ça fait mal d’entendre ça, surtout quand tu sais que c’est vrai.

Et là, je vois les filles avancer, fières, prêtes à danser, à rafler le titre et à se battre pour leur vie, et je sais pourquoi je suis là :

Je suis là pour qu’aucune femme ne se sente plus seule.
Je suis là pour qu’aucun enfant ne se sente plus rabaissé.
Je suis là pour donner tout l’amour et la force que j’ai pour mettre à chacun de libérer le Feu qu’il a en lui.
Je suis là pour montrer l’exemple que c’est possible.

Chaque jour, chaque matin, chaque minute, je vais vous montrer que c’est possible.

Que c’est possible de se lever. Que c’est possible d’être forte. Que c’est possible d’être puissante. Que c’est possible d’avoir un impact. Que c’est possible de faire une différence.
Que c’est possible de créer une vie différente de celles de nos parents.
Que c’est possible de rêver grands, et d’atteindre ses rêves.
On ne m’a pas mis là pour rien.
Je le fais pour ma sœur. Je le fais pour mon frère. Je le fais pour ma petite cousine, mon petit cousin. Je le fais pour les enfants. Je le fais pour leurs parents.
Je le fais pour ma mère, Seigneur si j’avais un dixième de la force de ma mère. Je le fais pour ma tante. Et pour ma grand-mère et pour sa mère.
Je le fais pour les femmes. Je le fais pour les hommes intelligents qui les soutiennent. Et je le fais pour les enfants. Au bout du compte. Je le fais pour les enfants.

Ceux qui sont là et qui sont à venir.

Et ce n’est peut être qu’une goutte dans l’océan. Mais c’est une goutte ultra-puissante. Qui fera des vagues et des vagues et qui va secouer le monde.

Je n’ai pas peur.
Je suis là.
Et si toi aussi tu veux te tenir droite, et enfin, en entier, être toi, je suis là.

Lyvia. 🔥❤️

Ps : après être rentrée chez moi, remise de mes émotions, cette idée que j’ai eu il y’a quelques jours est revenue frapper : et si on se voyait ? Un séminaire ensemble, deux jours, début octobre à Paris, pour se connecter à sa mission, son Flow et à l’intuition pour créer la vie dont tu rêves et faire une différence dans le monde, sans forcer. Si ça te dit, mets moi un commentaire avec des cœurs 

vague-tiret

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Je suis Lyvia Cairo

Écrivain, coach en relations et en sexualité, spécialisée en soin des traumas.
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