Ce que j’écrivais quand j’étais sur cette plage… et comment ça me surprend, m’émeut, et me fait réfléchir…

Je me suis rappelée de cette photo, assise sur une plage, en Californie.
Mon amie Laure et moi étions en route pour une retraite d’écriture à Hawaii. Le rêve quoi.
Je me suis dit qu’elle illustrerait parfaitement bien un message sur mon programme ‘J’écris ma vie’, et comment ma vie telle qu’elle est aujourd’hui, a littéralement commencé dans un carnet.
Et en lisant, c’était doux et bon… jusqu’à la fin. Vous verrez pourquoi.

« Nous sommes le 13 janvier 2018, et je veux capturer ce moment.
Je suis sur la plage avec Laure, et il est bientôt 11 heures du matin.
On s’est levées tôt, assez tôt, pour aller voir le lever du soleil à Santa Monica.
On a marché sur la plage, rencontré un homme magnifique qui s’appelle Marc, avec son chien, Beau.
Puis nous sommes allées manger au Rosa Café,
Puis fait un tour dans une petite librairie. Et là on se retrouve sur la plage.

Je suis fatiguée, et Laure est épuisée. Mais c’est formidable de profiter ainsi de la journée.

Je suis heureuse. Je suis heureuse d’une façon dont ne peut pas me l’enlever.
Je ne sais pas comment l’expliquer mais je ressens un bonheur, une joie, une excitation, une appréciation du présent et de la vie, d’une façon qui est nouvelle.

Comme si mes sens étaient décuplés. Entre le 10 janvier et le 11 janvier, je ne suis plus la même.

Je me sens en parfaite sécurité, d’autant plus sachant que je suis maintenant à l’abris total du manque »


Relisez cette dernière phrase.
Plusieurs fois s’il le faut.
J’ai écrit : je suis à l’abris total du manque.
Cela a été un choc pour moi de relire ceci… car au moment d’écrire ceci… ma société était au pire stade qu’elle puisse être. Nous étions en pleine résolution comptable. Quelques jours avant je mourrais de peur de ne pas pouvoir gérer tout ce qu’il y avait à gérer.
Je n’étais pas à l’abris du manque si on regardait mon compte en banque.
Je n’étais pas à l’abris du manque si on regardait mes ventes.
Et je n’étais certainement pas à l’abris du manque si je me basais sur la réalité des dépenses à venir…

MAIS…

J’étais et je suis à l’abris du manque et j’ai beaucoup de gratitude pour moi d’avoir écrit cette phrase et pour moi de l’avoir relue :
Je suis à l’abris du manque parce que la sécurité, je l’ai à l’intérieur.
Je ne manque de rien. Je ne manquerai jamais de rien.
Car il y a en moi la fois que.. je ne manquerai jamais de rien.

Dans ce carnet, j’ancrais une décision. Vers laquelle j’avais cheminé certainement.
Mais je ne laissais pas ma réalité physique du moment déterminer comment je me sentais.
C’est moi qui décide. De tout.
Et si je décide que je suis maintenant à l’abris total du manque,
Je suis à l’abris total du manque.

Et depuis ce moment, ou depuis un peu avant, je ressens une telle paix à l’intérieur (je vous en parle souvent ces jours ci).

Et je peux vous le dire : tout commence dans mon carnet.
Tout commence par ce temps que je prends pour poser les mots sur ce qui vient et ce que je ressens.
Tout commence par ce moment où je me connecte à quelque chose de divin, de grand, de puissant, qui me souffle des mots, des phrases comme celle-ci, que j’écris sans réfléchir. Et sans développer, car impossible de trouver une suite à ce texte.
Tout commence par cet instant de conscience où tu décides de ce que va être ta vie,
Où tu décides de l’énergie dans laquelle tu vas vibrer.

Tous les jours, je prends le temps de prendre ces décisions.
Soit en écrivant, soit en méditant et toujours en conscience.

Il y a un travail de déconstruction nécessaire à ça,
Une habitude à développer, celle de regarder nos peurs, blocages, limites, et ne pas les laisser nous entraver.
Et finalement décider que l’on ira dans une autre direction, vaille que vaille.
Tu décides.

Chaque jour, j’écris ce qui me vient, un peu comme ici, même si c’est rare que je décrive ma journée.
Chaque jour, je décide de ce que va être ma réalité.
Chaque jour, je me pose des questions qui me demandent d’aller chercher profond.

Et tu peux commencer déjà.
Tu peux commencer en suivant juste ce que je viens d’écrire, en regardant les lives où j’en parle, en lisant mes articles. Tu peux commencer.
Et mon engagement c’est toujours ça avec mes lecteurs et mes clients : tu peux commencer sans moi.

Mais si tu veux aller bien plus loin, bien plus profond… laisse-moi t’accompagner.
Laisse-moi te donner chaque jour les exercices qui te feront creuser et décortiquer.
Laisse-moi te rappeler chaque jour de ne pas lâcher afin d’implémenter tes habitudes.
Laisse-moi t’apprendre à voir plus grand encore.

Et pour cela c’est simple..
Il suffit de rejoindre j’écris ma vie.

Je ne sais pas si tu le vois, mais ce que j’ai écrit il y a 3 mois, crée littéralement ma réalité aujourd’hui.
Des mots posés sur le papier, déclenchent des souvenirs, des émotions, des sensations, qui me font vibrer dans une certaine énergie. Energie qui m’amène aujourd’hui ici.

vague-tiret

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Je suis Lyvia Cairo

Écrivain, coach en relations et en sexualité, spécialisée en soin des traumas.
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