Ma vision pour le deuxième semestre 2021 #coulisses
Hello, ceci est un (très) long article sur les coulisses de mon business à la mi 2021.
En plus de vraiment aimer ce que je fais – en accompagnant notamment sur la sexualité, en écrivant un tas d’articles et de la fiction érotique – le business et la gestion de mon entreprise sont une grande part de ma vie. Cet article est l’occasion pour moi de faire un point, et d’un peu transmettre les coulisses de ce que j’appends et ce que je comprends.
Je n’ai pas envie de faire un ‘bilan’ de la première partie de 2021, car ces 6 derniers mois étaient à la fois merveilleux, et à la fois très compliqués. Ainsi ça n’a pas beaucoup de valeur pour moi de me replonger dedans.
Pourtant, j’ai compris ÉNORMEMENT de choses qui me permettent de prendre des décisions différentes pour le reste de l’année.
Je vais faire cet article aussi clair et organisé que possible, en espérant qu’il vous inspire aussi à prendre des nouvelles décisions dans vos vies.
1 – Le marketing sans les réseaux sociaux.
Cela fait maintenant près de trois mois que je ne suis plus ni sur Facebook, ni sur Instagram.
Je suis sûre à 99% de ne plus jamais retourner sur Facebook. Ça ne me manque pas d’un chouya.
Instagram ne me manque pas vraiment non plus, cependant, je me questionne sur mon retour.
La bonne nouvelle, c’est que cela ne vient pas d’un endroit d’anxiété comme j’ai pu le décrire dans un récent article, mais ça vient d’une réflexion un peu plus posée.
Voici ce que j’ai observé de mon marketing sans réseaux sociaux :
- Je n’ai pas moins d’exposition. A savoir, il n’y a pas moins de personnes qui voient mes offres et qui engagent avec. Ma première masterclasse (sur la Vulve) a rassemblé 700 inscrits. Avec de nombreuses personnes qui ont reçu le lien de leurs amis (vive le partage ! Merci !). La seconde, plus spécifique sur le soin des traumas, a rassemblé 400 inscrits.
- Ce sont de très bons chiffres sachant qu’à chaque fois j’ai fait la promo sur 3 jours (mardi, mercredi, jeudi, pour une masterclasse le vendredi), avec 3 emails, et aucun autre levier.
- Et la meilleure stat de toutes, c’est qu’environ 25% des personnes étaient présentes en direct, alors qu’elles étaient prévenues juste 2-3 jours à l’avance. Ce sont de très bons chiffres qui m’encouragent sur le fait que les réseaux sociaux ne sont pas ‘nécessaires’ à toucher les gens. En construisant une bonne base d’emails, en écrivant des articles intéressants, les gens sont là, connectés. Je n’ai vu AUCUNE baisse d’intérêt pour mon travail.
CECI DIT :
- Mon taux de conversion a baissé. Pour le même nombre de personnes qui voient ce que je propose, moins de personnes achètent. Alors, c’est compliqué de savoir si ce sont les offres, la compréhension des offres, la conjoncture etc. Mais j’ai une suspicion / intuition.
- Comme j’enseigne sur des thèmes assez délicats, voire tabous (la sexualité, les traumas), mon hypothèse est qu’il est plus facile d’avoir confiance et de se sentir en sécurité quand on me ‘voit’ régulièrement. Mes stories permettaient ça. Mes lives spontanés sur Instagram aussi. C’est une hypothèse, je serais curieuse de votre ressenti en commentaire. J’ai d’autres projets pour être plus proche de la communauté – un podcast, dont le concept est enfin établi (yes!), et une chaine Youtube – mais les deux prendront du temps à s’installer.
- L’autre chose qui me manque légèrement, c’est la spontanéité. Le fait de partager une pensée, une idée, spontanément. Maintenant, j’aime aussi avoir le recul de la réflexion, ainsi, c’est compensé par le fait que j’apprend de nombreuses choses sur moi en n’étant pas spontanée.
J’ai une idée de test pour les réseaux sociaux. Je me dis que je ne pourrai prendre une décision finale pour Instagram qu’en ayant testé deux ou trois choses. J’en parle plus loin dans l’article.
Conclusion : je suis toujours convaincue qu’on peut faire du business sans réseaux sociaux en ayant une bonne base d’emails. Et en testant, explorant. Ceci dit, il est possible que les réseaux sociaux aient du bon, mais seulement s’ils ne vont pas à l’encontre d’autres objectifs. A voir plus bas.
2 – Mon arrêt du programme, L’Initiation
Au lancement de mon nouveau programme, Les 8 portes, j’ai annoncé que je ne relancerai plus l’Initiation.
C’est le moment pour moi d’être très transparente avec vous.
Début mai, j’ai arrêté l’Initiation, et décidé de rembourser toutes les personnes inscrites. Cette décision était difficile.
L’Initiation est un programme que j’adorais. J’avais environ 60 clients dedans, et je travaillais avec deux coachs, Céline et Séverine. Chaque semaine, il y avait 3 appels en live, un de chacune d’entre nous.
Quand j’ai lancé ce programme, initialement, je voyais un membership, qui grossissait à des centaines de membres. C’était ma vision.
Or il est devenu autre chose. Il est devenu un groupe de coaching, assez intimiste, où on connaissait très bien certains des participants.
Et aussi… il n’était pas rentable.
Sa vente n’était pas fluide. J’ai beaucoup réfléchi au marketing, l’angle, etc. Mais comme l’expérience était tellement unique, elle était difficile à expliquer, car chaque personne ressortait avec des choses différentes.
C’était essentiellement devenu un programme de coaching.
Alors, pour équilibrer l’énergie par rapport à ce que l’on donnait, j’ai décidé que j’augmenterais substantiellement le prix – le prix final auquel je me suis alignée, et pour lequel je préparais un lancement était 8000 euros pour 9 mois. Pour le niveau d’accompagnement, avec 12 appels par mois (!) de 3 coachs différentes, ce n’était pas du tout aberrant.
Sauf que… je ne l’ai pas senti. Ce n’était pas ce que je voulais faire à la base.
J’adorais le contenu, la délivrance, les clients, tout. Et si j’avais pu trouver la formule qui fasse que l’on puisse continuer ainsi, j’aurais gardé ce programme. Mais ce n’était pas fluide. Au bout d’un moment, je mettais des carrés dans les ronds, et alors que j’avais créé cette offre pour me libérer de l’espace mental, chaque semaine je passais des heures à réfléchir à sa stratégie marketing.
Ce n’était pas fluide. Et… « tout ce qui n’est pas fluide doit partir ». Citation de mon premier livre 🙂
Ce programme m’a vu grandir et évoluer, prendre beaucoup plus confiance, et avoir plus d’assise. J’ai adoré ne plus travailler seule et avoir deux coachs avec moi.
Cependant, il coûtait cher et ne rapportait pas assez.
Alors j’ai décidé d’arrêter. Et c’était dur. Et cette décision (prise le 2 mai) a été le début d’une longue série de prises de conscience.
3 – Ma vision, mon « pourquoi »
Je croyais qu’arrêter L’Initiation, obéir à une guidance à laquelle il n’était pas facile d’obéir, allait subitement rendre toutes les choses simples et limpides. Que c’était l’action qui était nécessaire pour que la fluidité et l’alignement reviennent.
Ça n’a pas été le cas. Je savais à 100% que c’était la bonne décision, et pourtant, rien de subitement miraculeux n’est arrivé ensuite.
Ce n’était pas ça le vrai déblocage d’énergie, c’est ce qui viendrait ensuite.
A force de méditation, de réflexion, de pratiques, et de journaling, je me suis rappelée d’une vision qui date de bien longtemps.
Avant celle de vouloir créer un monde plus sain pour les enfants.
Avant celle d’avoir un business qui crée plusieurs millions.
Avant tout ça. Le rêve de toute une vie.
Du plus loin que je me rappelle, mon rêve a toujours été d’être romancière.
D’écrire des livres, et de finir sur la liste des Best Sellers du New York Times.
Et à chaque fois, je mettais ce rêve de côté au profit de faire grandir ma société.
Ce n’était jamais un objectif ancré, solide, que je prenais au sérieux.
J’ai écrit plusieurs livres pourtant, bien sûr, et j’en suis fière.
Mais ces dernières semaines je me suis rendue compte que ce n’était pas assez.
Alors, je me suis connectée à une nouvelle vision, qui est celle-ci :
Dans 10 ans, je me vois seulement écrire des livres, et ne plus gérer une société.
(Whaaaaaat???)
Aujourd’hui, créer des offres, des programmes, vendre, toucher du monde de cette façon, ça me plaît. C’est un chemin d’apprentissage pour moi, probablement le plus gratifiant que j’ai eu de ma vie. Mais ce n’est pas mon rêve de continuer. J’ai envie que ça ait une fin.
Et ça, je l’ai vraiment admis pour la première fois il y a quelques semaines.
Ça a changé toute ma perspective.
Mon objectif n’est plus la croissance, monter de chiffre d’affaires chaque année.
Mon objectif c’est d’avoir un business qui soutient mon écriture : financièrement, en temps, et en énergie.
Cela signifie :
- Que je privilégie le profit au revenu. Par le passé, j’ai réinvesti quasiment tout mon revenu dans ma société, l’argent pour moi étant destiné à ma vie quotidienne, mes voyages. J’ai payé des coaches, des équipes, des sommes qu’on pourrait considérer comme astronomiques, car c’est ce que je croyais à l’époque comme étant nécessaire pour continuer à grandir. C’est terminé. Maintenant, je maximise mes revenus, et je minimise mes dépenses. Et essentiellement je garde mon argent… pour moi.
- Je garde mon argent pour moi et je le réinvestis dans mon projet d’être complètement indépendante financièrement et pouvoir me consacrer à écrire. La définition de ça pour moi est d’avoir assez d’argent pour vivre TRÈS confortablement avec ma famille et de pouvoir mettre mes enfants, et j’espère leurs enfants après eux à l’abris financièrement.
- Je dois encore faire le calcul de ce que cela représenterait en terme de revenu et de retour sur investissement. Cela ne sera pas une ‘petite’ somme. Mais il s’agit de gagner + en optimisant davantage.
Et pour finir :
- Cela signifie me libérer du temps. A ce stade mon activité n’est quasiment pas automatisée au niveau des revenus (dingue, je sais), mais j’ai eu pas mal de résistance par rapport à ça. D’où ça vient ? Je ne sais pas bien. En tout cas je me sens prête maintenant à mettre en place les étapes pour capitaliser sur tout ce que j’ai déjà créé, et que ça continue de vendre sans que j’ai à être autant impliquée.
Donc l’équation pour avoir une activité qui soutient mon écriture est la suivante :
- Plus de profit, en moins de temps passé 🙂
4 – Mon nouveau modèle économique
Pour moi, une entreprise n’a de sens que si elle soutient le style de vie que l’on désire qu’elle soutient nos rêves, et qu’elle est en phase avec notre essence, notre identité.
Ainsi, une fois que ma vision s’est clarifiée, la prochaine étape était de poser le modèle économique qui me permettrait de l’accomplir.
Il y a deux critères à ce modèle :
- 1/ qu’il me laisse le temps d’écrire
- 2/ qu’il apporte un revenu récurrent
L’idéal pour un revenu récurrent = automatiser
Mais en attendant, c’est très simple de créer des choses funs, ponctuelles qui sont de belles expériences.
Du coup voici le modèle avec lequel je vais jouer pour l’instant, qui comporte sur 2 axes :
1/ Capitaliser sur l’existant :
Il y a une dizaine de programmes que j’ai déjà créés et que je peux relancer – (en tout j’ai créé plus de 50 programmes, j’ai fait un petit tri :D)
Les best sellers de mon année sont Sex Magic (que vous adorez !) et les 8 portes de la sexualité Sacrée. ‘Les 8 portes’ est un gros programme (on en a pour 10-12 heures de travail environ par module, entre la préparation, le tournage, le montage) et c’est aussi un contenu que j’adore. Ainsi si je peux amplifier sa portée et lui permettre de toucher plus de monde : wahoo !
Quand j’ai lancé L’Initiation, mon ambition était d’avoir une seule offre principale. Et j’ai toujours cette vision. J’adorerais avoir un modèle simple où je me focalise sur une offre, et où il s’agit de la présenter à plus de monde possible. Qu’elle grandisse en notoriété et que ce soit quelque chose de stable et solide. A voir si les 8 portes peuvent être cette offre !
2/ Créer des expériences live ponctuelles, à un éventail de prix.
Des ateliers, des masterclasses payantes, des retraites virtuelles, des retraites physiques (!), du coaching personnalisé.
J’adore le live, et ayant un gros programme en cours en ce moment, ce genre d’expérience est ce que je vais privilégier pour le reste de l’année.
D’ailleurs, scoop ! – J’ai ouvert pour la première fois en plus d’un an des places en coaching individuel. Il n’y a que 5 places, pour un coaching sur mesure, durant l’été. Tu peux découvrir l’offre en avant-première ici : Clique ici pour découvrir.
L’avantage de ces offres en direct c’est le flexibilité, et leur côté fun et excitant. J’ai besoin de nouvelles expériences dans ma vie, de nouveau, d’excitant. Ainsi ces offres en live permettent ça.
Ici il y a un bon équilibre pour moi entre construire et stabiliser, tout en continuant à tester et créer.
Conclusion : peut-être que ça ne me prendra pas 10 ans pour être 100% romancière 🙂
Plutôt que créer des nouveaux programmes, je capitalise sur les anciens.
Et en parallèle je crée des expériences et opportunités d’avoir des transformations en direct.
C’est ce modèle que je compte tester sur la deuxième partie de l’année. A voir ce que cela donne 🙂
5 – Instagram, Re
Maintenant que mon pourquoi est clair, et que j’ai une vision de mon modèle éco, ma décision de revenir, ou pas, sur Instagram, va passer par ce filtre :
- Est-ce que cela est un soutien pour avoir plus de profit dans mon activité ;
TOUT EN
- Me laissant le temps nécessaire pour écrire ma prochaine saga de livres.
De la façon dont j’utilisais Instagram avant, la réponse était clairement non. J’y passais tellement de temps que l’écriture passait à la trappe. Alors que sans Instagram, j’ai fini le début d’un livre, puis décidé que j’allais en fait en écrire un autre (les joies d’être artiste) et commencé à travaillé à un nouveau concept. C’est plus de progrès en 2 mois que j’en ai fait en un an.
Ainsi, pour remplir ces deux critères, il s’agirait d’utiliser Instagram différemment.
Voici mes idées :
- D’abord, ne suivre personne. Comme Beyoncé 🙂 Ou simplement une liste très limitée de personnes, par exemple 10, en m’assurant de ne pas dépasser ce nombre. Consommer Instagram ne m’a pas manqué. Et pendant ma pause, il y a seulement quelques comptes que j’ai été curieuse d’aller voir (je tapais le lien dans la barre Google :D). Ce nombre de comptes s’élève à… 5 pour l’instant. Je les ai notés, et si je revenais, je m’assurerais de ne suivre que les comptes que j’étais effectivement curieuse d’aller regarder. Ou aucun, et aller intentionnellement chercher l’information que je recherche. A décider.
- Programmer mes partages avec intention et soin, hors de la plate-forme. Utiliser une application comme Later qui me permet de programmer des stories sans pour autant ouvrir l’application (si je peux ne pas avoir mon appli sur le téléphone c’est l’idéal)
- Limiter les DMs. Y répondre me prenait beaucoup de temps, alors trouver un système pour y répondre sur un temps limité.
Ainsi ce serait surtout un espace pour partager du contenu de qualité, qui pourrait mener vers du contenu plus long (newsletter / podcasts). Ma vision est que cela puisse être une petite bulle de paix et de calme dans la sur-information d’insta. Du doux, de l’apaisant, du joyeux, de l’intéressant.
- Et… un autre fantasme : enlever tous mes posts du flux d’actualité, et ne faire que des stories 😀 Là je serais en train d’utiliser Instagram vraiment comme j’ai envie.
Bon, à ce stade ce sont des hypothèses, et je n’ai pas encore pris ma décision. Je joue avec l’idée. J’aimerais trouver des façons que ma communauté se sente davantage connectée à moi.
Une de mes idées, est, encore une fois, de tester. De revenir, et de voir si effectivement cela fait une différence, sans pour autant sacrifier mon bien-être. Et tester cette nouvelle façon de faire (que je n’aurais pas pu acquérir sans partir), et ensuite décider définitivement si je pars ou si je reste.
Nous verrons ce que je choisis de faire.
6 – Conclusion
Je suis très excitée à l’idée de me reconnecter à mon rêve d’enfant, être romancière. Ça me fait quelque chose. C’est comme me reconnecter à un certain émerveillement, à un objectif qui n’est attaché à rien d’autre qu’un simple désir du coeur et de l’âme. Ça me nourrit beaucoup.
Maintenant, j’ai des étapes à passer d’ici là. Et c’est ok. J’aime juste l’idée d’être en train de marcher vers quelque chose qui est… pour moi. Qui est pour mon petit coeur, pour mon enfant intérieur. Et de construire les systèmes qu’il faut pour que ça arrive.
Ainsi mon objectif, je te le réaffirme ici : avoir une activité qui est en soutien de mon écriture.
Et toutes mes autres motivations restent vraies. Celle de créer une différence sur le thème de la sexualité, de participer à un monde plus sain, de créer de la richesse inter-générationnelle.
Ceci dit, à la fin de ma vie, si je dois choisir un seul objectif, c’est celui d’avoir écrit plein de livres qui font du bien 🙂
Voilà pour moi.
Bon, finalement ce n’était pas si long.
Ok, si un peu quand même.
Merci de m’avoir lue !
Lyvia
PS : Si tu veux découvrir mes trois livres, les voici :
- Créer sa vie en étant soi, aux Editions Eyrolles ;
- Je ne sais pas être une femme, mon premier roman ;
- Je vais te secouer jusqu’à ce que tu t’aimes, une série d’essais sur l’amour et les relations.
PPS : Pour la première fois depuis plus d’un an, j’ai ouvert des places en coaching individuel. 5 places pour un Coaching 100% sur mesure, cet été. Clique ici pour en savoir plus.
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Et dis-moi en commentaire : quelle est une chose que tu tires pour toi de cet article ? Une intuition, une décision prise peut-être ? Quel message tu sens pour toi ?
Hâte de te lire,
A bientôt !
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Commentaires
5 commentaires
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Je suis Lyvia Cairo
Écrivain, coach en relations et en sexualité, spécialisée en soin des traumas.
Et je suis là pour t'aider à te sentir beaucoup mieux dans ta vie.
Merci Lyvia encore et encore des leçons très inspirantes et permissives.
Super texte ancrer et inspirant
Merci beauté
J’aime beaucoup cet article, c’est très intéressant d’avoir tes réflexions et tes affirmations sur ton business !
J’avoue que Instagram et la proximité que ça permet avec les storys ça joue beaucoup. Je trouve que c’est différent des newsletter, même si j’aime les deux. On vois plus ta personnalité en vidéo / podcast. (que j’ai hâte d’écouter !)
Ça me donne envie quand tu parle d’avoir un business qui soutiens ta créativité… Un jour j’espère avoir ça moi aussi !
Mais pour le moment je suis une babypreneure haha.
Hello Lyvia,
C’est chouette les balades sur internet, de liens en liens on arrive sur des sites hauts en couleur !.
Merci pour vos prises de position et partages, une vraie pépite pour une amoureuse de l’écriture et Entrepreneuse qui démarre.
Ce que je partage totalement c’est la nécessité de savoir pourquoi on va sur les réseaux, j’ai eu la même interrogation dernièrement et j’ai pu y aller avec quelques appréhensions mais en sachant ce que j’allais y faire :-).
Bien à vous,
Merci beaucoup à vous Charlène, et merci à la magie d’internet de vous avoir emmené ici 🙂 Oui, y aller avec intention fait une vraie différence à mon sens