Ma vérité du moment : de ‘moi, c’est pas grave’ à ‘moi d’abord’

Attention, long texte. Mais très intéressant, comme d’habitude 😀 Prends ton thé, ton café, ou ton mojito. C’est parti.

Hello ,

J’espère que tu vas bien.

J’ai fait une pause dans ma communication pendant 2 jours parce que 1/ j’avais mes règles, et 2/ j’attendais la clarté de ce que je voulais partager. 

Alors comme toujours dans ces cas, j’ai fait ma vie, j’ai passé du temps avec mes proches, un peu au bord de la mer, et j’ai laissé ce qui devait émerger, émerger.

Ce qui a émergé, c’est l’envie de partager, simplement, avec toi, ma vérité. 

Ça n’a jamais failli. Je ne me suis jamais trompée en disant ma vérité. 

Bien sûr, elle ne plait pas à tout le monde. Et on m’a déjà reproché de ne pas faire ‘bonne figure’ et de trop embarquer les gens dans mes histoires.

Mais je suis qui je suis, et je suis quelqu’un qui aime raconter sa vie. 

Et les gens qui résonnent avec moi ne s’en plaignent pas.

Ainsi, voici ma vérité du moment. 

J’avais envie d’écrire un truc long. Alors installe-toi confortablement 🙂

Ces jours-ci, je me sentais un peu coincée. 

Je suis à un tournant dans mon comportement relationnel. 

Ces derniers mois, j’ai cassé un schéma de 10 ans, que je vais tenter de t’expliquer ici, mais qui mériterait une masterclasse entière.

Avant de commencer, quelques mots de vocabulaire, avec le sens que je leur donne.

Extraction : le fait d’extraire de la terre, ou d’une personne, plus de ressources que nécessaire, au point que la terre (ou la personne), se retrouve avec un manque de ressources. Comprendre : un cercle vicieux, qui détruit et emmène vers le bas.

Régénerescence : capacité de la terre, ou d’une personne, à continuer de grandir et de se développer, étant nourri-e de ressources qui lui apportent de l’énergie, et lui permettent de créer des ressources supplémentaires. Comprendre : un cercle vertueux, emmène vers le haut.

Le schéma de 10 ans que j’ai cassé, est un schéma « d’extraction » pour aller vers plus de « regénerescence ». 

Dans mes relations j’ai (j’avais) tendance à : 

  • Donner plus que ce que je n’ai ;
  • Penser aux autres bien avant moi, au point de m’ignorer.

(Tu te reconnais dans ça ?)

Au fil du temps, ce schéma s’est atténué. J’ai peu à peu pris davantage soin de moi. 

Ceci dit, je ne l’ai vraiment compris que cette année. 

Assez bien compris pour le repérer, et m’engager à ne plus le reproduire.

1 – De l’extraction…

A quoi ressemblait cette extraction, très concrètement 

Dans ma vie pro : 

  • J’ai dépensé beaucoup d’argent en équipe, j’ai payé de nombreux prestataires, parfois plus que moi-même. Plus d’une fois, je me suis retrouvée à créer de l’argent pour payer des gens. Je te le dis avec transparence, car je n’ai pas honte. Mais par le passé j’en avais honte, je m’en suis beaucoup voulu de certaines décisions financières. 
  • J’ai aussi gardé beaucoup plus longtemps que nécessaire certaines personnes, car je me demandais ce qu’elles allaient devenir si on arrêtait travailler ensemble. Je payais toujours mes équipes en premier, parfois bien avant mon salaire. D’ailleurs, je calculais mon salaire non pas à partir de mes envies, mais à partir de mes frais d’équipe. Je me rappelle très distinctement de moments où j’étais dans le ressentiment de me payer peu, et de payer autant d’autres personnes. J’étais dans l’extraction. J’ai commencé à ma sentir mieux quand j’ai augmenté mon salaire.
  • J’ai fait la même chose avec des coachs, une en particulier, qui était super et qui m’a beaucoup aidée, mais que je payais plus que moi-même. Certains moi je me pliais en quatre pour la payer, ce n’était pas confortable, mais je me disais que c’était le chemin.

Dans le monde du business et du coaching, on dit souvent qu’il faut ‘investir’ dans sa société, que ce soit en équipe, ou en accompagnement. 

Ce n’est pas un mauvais conseil, il faut le faire, dans une certaine mesure. Ceci dit, personne ne dit avec transparence quelle mesure

Moi je vais te la dire : la première personne dans laquelle tu dois investir, c’est toi. Et ce n’est pas un code pour ‘achète un programme’ ou ‘prend un coach’. C’est un code pour : « ouvre un compte épargne et mets une bonne partie de l’argent que tu gagnes dessus ». 

Et investis seulement quand ça n’extraie pas tes ressources. Assure-toi d’être à l’aise, dans la mesure du possible. 

Parfois tu devras prendre des risques, et c’est ok. Mais ce n’est pas le quotidien d’un entrepreneur. 

Pendant 10 ans, depuis que j’étais salariée, j’ai eu une tendance à envoyer mon argent à l’extérieur de moi, plutôt que de le garder pour moi.

Attention : j’ai une belle vie. J’ai une belle maison, j’ai fait de magnifiques voyages, mais au vu de la quantité d’argent que j’ai générée, je pense que la grande majorité, je ne l’ai pas gardée.

Pourquoi ? Vu qu’on en est dans le partage de vérité.

Car le fait de distribuer justifiait ma réussite. Comme si je n’avais le ‘droit de recevoir’ que si je distribuais une grande partie. Ça vient de loin, j’ai un schéma de sur-responsabilité : je dois m’occuper de tous les autres, et “moi, c’est pas grave”. 

  • Sur les réseaux sociaux, et c’est d’ailleurs pour cela que je suis partie, je donnais trop. Je donnais beaucoup trop par rapport à ce qui était juste pour moi. J’étais hyper sollicitée, je répondais à tous mes messages, je ne passais pas un jour sans faire un partage. Et plus j’en donnais, plus j’étais sollicitée… 6 heures de ma journée à interagir, à répondre, à naviguer des conversations, plutôt qu’à créer. Je n’étais pas en train de faire ce que j’avais envie et besoin de faire. Ainsi j’ai créé une limite rigide. Je suis partie. Et maintenant, je reviens avec des limites plus saines, qui laissent entrer ce qui est bon, et qui mettent de côté le reste.

Dans ma vie personnelle :

  • J’ai eu plusieurs relations toxiques, et des relations de dépendance affective. Et pas que romantiqument, dans ma famille aussi. 
  • Le schéma : je suis hyper-responsable de tout. Je suis en charge de tout. C’est moi qui dois trouver des solutions à tous les problèmes, aider toutes les personnes concernées. L’autre est une victime, je suis son sauveur. Sans moi, il-elle n’est rien. Ainsi, je vais me plier en quatre, je vais me sacrifier, je vais COMPLÈTEMENT m’oublier, parce que « moi, c’est pas grave ». 
  • Et ce qui va se passer c’est qu’effectivement, les rares fois où je posais une limite, que j’étais en colère, ou mécontente, j’en prenais plein la gueule en retour, car les gens étaient surpris. Parce qu’à force d’être gentille et de se contorsionner pour tout le monde, on en a marre. Surtout quand en face, les critiques s’accumulent et qu’il n’y a aucune reconnaissance. On donne, et ce n’est jamais assez.
  • Qu’ai-je reçu de me contorsionner, de me plier en quatre, d’être agréable, docile, compréhensive, pour des personnes qui au final, ne se souciaient pas une seule seconde de mon bien-être ? RIEN, nada.

    Et ça m’a pris du temps à comprendre ça, qu’une relation saine c’est une relation dans laquelle on pense à soi, d’abord. 

    J’avais le schéma que c’était l’altruisme avant tout, l’autre avant tout. 

    Résultat : extraction de mes ressources. Je me retrouvais seule, avec aucune énergie, plus d’envie, plus de ressources à me demander : « et moi alors, qui prend soin de moi ? » Eh bien, normalement moi-même, dans un premier temps. Mais j’ai compris que je ne peux pas prendre soin de moi si toute mon énergie est mise à prendre soin des autres. Et ces fameux ‘autres’ sont rarement ceux qui à leur tour prendront soin de moi.

Quand on quitte un schéma de dépendance (j’agis pour que tu m’aimes, pour que je sois validée par toi, ma valeur est justifiée par le fait que tu te sentes bien, mais moi, c’est pas grave), eh bien quand on quitte ce schéma, ça fait tout bizarre. 

On réapprend à poser ses limites, et on apprend à mettre ses distances. Et ce n’est pas facile, car on a appris à être en lien en ignorant nos propres besoins.

Or, plus on apprend à écouter nos besoins, plus on se rend compte que c’est fluide, en fait, et on peut arriver dans un schéma de régénérescence.

2…A la régénérescence

A quoi ressemble la régénerescence dans les relations ?

  • Cela ressemble à laisser partir toutes les relations qui extraient nos ressources, sans rien apporter de fertile pour les faire grandir. 
  • Terminées les relations à sens unique, où on donne sans recevoir à la hauteur de ce que l’on désire ou mérite. Terminées les relations que l’on maintient pour faire plaisir à l’autre. Et terminées les relations que l’on garde par ego, car elles flattent notre valeur. J’ai laissé sur la dernière année partir plusieurs membres d’équipe, ce en plus ou moins bons termes (stopper un schéma d’extraction, c’est hyper moche, car souvent, tu t’y prends un poil trop tard, mais l’essentiel c’est de le faire), et je me suis éloignée de plusieurs personnes, avec lesquelles je ne pouvais pas pleinement être dans mon énergie.
  • Cela ressemble à arrêter de traiter des adultes comme des enfants, et les laisser dans leur responsabilité et rester dans la nôtre. Une phrase de Liz Gilbert m’a beaucoup marquée sur le sujet : « you have no power there ». Tu n’as aucun pouvoir làTu n’as pas de pouvoir sur comment les autres choisissent d’évoluer ou de mener leur vie. Tu n’as pas de pouvoir sur leurs choix, ou leurs décisions. Dans une de mes relations perso, malgré toute l’aide que j’ai pu apporter, la personne est restée à un point quasi similaire… et moi j’étais épuisée. On n’a aucun pouvoir sur les gens. Et on a beau se plier en 4, leur chemin restera leur chemin. De même, on ne peut aider que les personnes qui veulent vraiment, profondément être aidées, et qui sont prêtes à recevoir ce que l’on a à offrir. 
  • Ainsi, je ne donne de l’aide que là où je sens qu’elle est respectée, et honorée, et où j’ai de la reconnaissance.

    Car oui, avant je disais que je m’en fichais de la reconnaissance, car je faisais les choses « de bon coeur », tu vois ? Mais c’est faux. J’ai envie, et besoin d’être reconnue, comme tout être humain.
  • Quand je donne de l’aide, du soutien, de l’amour, je veux un “merci”, je veux être vue, et honorée dans ce que j’ai apporté. C’est pas si énorme à demander, purée ! Et pourtant, toutes les fois où je me suis contorsionnée, je n’ai pas eu un merci. Voire j’ai eu le contraire, des reproches et de la colère.

A quoi ressemble la régénerescence dans le business 

  • Cela ressemble à moi qui met l’engrais, l’eau, la lumière et le terreau au bon endroit : SUR MOI. Je suis la ressource numéro 1. Sans moi, il n’est absolument rien. Ainsi oui il s’agit de prendre soin de moi, de mon énergie, et de rester dans ma joie. C’est m’assurer que je me repose, et que je ne fais ni crise d’anxiété, ni burn-out. ET SURTOUT : c’est profiter de mon argent pour moi, d’abord.
  • Cela signifie aussi avoir confiance dans le fait qu’investir en moi, THE ressource, est le bon choix. On va parfois chercher tellement de réponses à l’extérieur. On cherche cette fameuse pilule magique qui va résoudre tous nos soucis. Mais cette pilule magique n’existe pas. Il est important d’aller chercher de l’aide et du soutien quand c’est juste. Mais jamais au détriment de son bien-être. 
  • La régénerescence en business cela veut aussi dire : faire des choses qui nous apportent de l’énergie, et pérenniser, construire. Par exemple, si je donne un live de deux heures sur, je ne sais pas, la puissance du clitoris, alors j’en ressors super énergisée ! Si je coache une cliente privée, et qu’en passant par le corps on arrive à comprendre ce qui la bloque dans ses actions, j’en ressors tellement heureuse que je suis portée. Alors là, je peux utiliser cette énergie, soit pour surfer dessus, soit pour créer. Si je crée un programme qui a bien marché, je peux le rendre disponible et le faire vendre en automatique (hello, Sex Magic), etc.
  • Quand j’investis de l’argent, je choisis précisément une chose qui va m’apporter un retour concret sur mon investissement, où je sais que cet outil, ou être dans cet espace, dans cette énergie, va apporter à ma vie. Pas d’investissement ‘par curiosité’ ou ‘parce que ça peut servir un jour’, mais vraiment si je sens que cela m’apportera de la valeur SANS extraire de mes propres ressources. Moi d’abord.
  • Et sur les réseaux sociaux, pour l’instant je ne fais que ce qui me met en joie. Je me nourris des commentaires de reconnaissance et de validation parce que, voire plus haut, ça me fait du bien, et aussi je pose mes limites, ignore certains messages trop sollicitants, je maîtrise mon temps, et pour l’instant tout va bien.

La joie, l’argent, le temps. Je pense que ce sont les trois aspects sur lesquels je suis vigilante.

Je mets mon énergie dans ce qui va m’apporter de la joie, de l’argent ou plus de temps. 

Et qu’est-ce que cela crée, la régénérescance ? 

Le surplus, 
L’abondance, 
Et une générosité SAINE. 
Qui vient d’une place où je vais tellement bien, que j’ai du surplus à distribuer.

On est dans une culture qui nous apprend à nous affamer pour nourrir l’autre, et qui nous traite d’égoïste quand on n’enlève pas sa chemise pour habiller son voisin.

Déjà, je vais garder ma chemise pour éviter la pneumonie, et ça va probablement plus facilement me permettre d’en chercher une pour toi aussi (métaphore étrange, mais bon).

3. Où j’en suis

J’en suis au stade où j’ai bien compris et intégré que c’était mon schéma.

BON. C’est inconfortable, car tu te dis : purée, si j’avais compris ça plus tôt, j’aurais pris d’autres décisions. 

Mais c’est la beauté de la vie. Tu comprends quand tu dois comprendre. 

Ensuite, je connais le schéma assez bien maintenant pour ne pas le répéter, ou pour remarquer quand je le fais.

Je suis dans la phase d’apprendre à être quelqu’un qui se nourrit d’abord, qui se paye d’abord, qui ne sort pas de ses rails pour aider les autres. 

Et… c’est assez nouveau. 

Beaucoup de mon identité était justifiée par un ‘overgiving’, qui signifie trop donner. Ainsi, il s’agit d’entrer dans une autre identité. 

Ironiquement ceci dit, même en étant quelqu’un de ‘overgiving’, j’ai pourtant été traitée d’égoïste, de voleuse, de vénale. Et c’est souvent arrivé les fois où j’ai posé des limites à ça.

OU, les fois où c’était vraiment trop et je n’ai pas tenu, en fait. 
Alors j’ai déçu, je n’entrais pas dans les attentes. 
Attentes que je m’étais fixées bien trop haut.

(Tu te reconnais dans ça ? A vouloir trop donner, en fait ne pas y arriver).

C’est moi qui ai aussi créé ces retours. 

Quand quelqu’un donne trop, tout le temps, si elle arrête de donner, ou oublie de donner une partie, subitement elle est perçue comme n’étant pas fiable.

Et je suis responsable de cela, bien sûr. 

Du coup, la limite que je travaille surtout, c’est une limite en amont. 
Ne pas trop promettre, ne pas trop créer d’attente, tâtonner avec ce qui est ok pour moi, et ce qui ne l’est pas. Préférer la fourchette du bas, quitte à rajouter ensuite. 

Plus je le détermine tôt, moins alors je dois m’ajuster après.

Dans mes relations, j’en suis au stade où j’ai été testée sur quelques unes. J’ai laissé partir certaines personnes, posé des limites à d’autres. Parfois ça s’est bien passé, d’autres fois pas vraiment.

Je m’ancre aussi beaucoup plus dans les relations qui fonctionnent. Je demande de l’aide et du soutien là où j’avais tendance à me débrouiller seule. 

J’exprime régulièrement de la gratitude pour les relations qui sont fluides, car alors plus de fluidité est présente dans ma vie. 

Notamment, je m’ancre dans ma relation amoureuse et je m’autorise à recevoir de mon compagnon – du soutien, de l’aide, de l’encouragement, de l’écoute, du temps. Avec lui c’est assez facile car on a une communication très honnête et franche, ainsi j’exprime simplement mes besoins, et c’est agréable. 

Je dois préciser ceci dit, que cette franchise s’est développée au fil du temps. Mais c’est cela aussi que j’appelle s’investir dans une relation, prendre le temps de se connaître assez pour naviguer et comprendre les différences. 

Et être patiente. Je pense aussi que je choisis maintenant avec qui j’ai de la patience, et avec qui je n’en ai pas.

La patience, c’est de l’énergie et du temps. Quand je suis patiente, c’est que j’investis dans quelque chose que je sais pouvoir être régénérant. 

Mais je ne suis pas patiente avec ce qui extrait mon énergie. Pourquoi le serais-je ?

Dans mes finances, l’extraction a été trop loin cet année. Comme je te le disais dans mes coulisses, pour la première fois de ma vie, je crois, j’ai eu un programme qui n’était pas rentable. 

En plus, j’ai commencé à rétablir la barre très tard, ce qui nous a fait deux mois difficiles cette année, que je suis en train de redresser. L’erreur que j’ai faite c’était de ne pas regarder mon besoin. Sinon j’aurais agi plus tôt et différemment. Ceci dit, c’était un super ‘wake up call, un bon réveil bien glacé, car ça m’a fait comprendre mon schéma, alors l’un dans l’autre, j’accepte, c’est ok.

Globalement, je suis pleine d’espoir. 

Je travaille à cet équilibre entre donner et recevoir – qui n’est pas vraiment un équilibre. Pour régénérer, il faut recevoir largement plus que l’on donne – tu imagines si tu donnais de l’eau à une plante, et que tu enlevais 50% de l’eau que tu viens de donner ? Non, l’équilibre n’est pas la clé. 

La clé c’est le surplus qui permet de régénérer. D’ailleurs, une plante qui a trop d’eau, rejète l’eau. Il n’y a rien à extraire, le débordement est naturel.

Je travaille à cette régénérescence donc, et je suis dans une étape où je rétablis mes ressources à un niveau beaucoup plus élevé que précédemment. 

Disons qu’avant elles étaient à 50 et on en extrayait 25, maintenant l’idée est de passer à 75 et d’en laisser déborder 15.

Ça va, sincèrement, être trop bien 😀

Je suis en transition. 

J’ai déjà fait arrêt sur toute extraction. 

Et maintenant, la croissance et la régénérescence peuvent commencer. 

C’est trop chouette 😀

Ici je t’ai raconté en vrac ce qui se passe dans ma vie. 

J’espère que ce partage résonne pour toi et t’apprend des choses. 

Pour être honnête, j’avais juste besoin d’écrire dessus pour acter que mon prochain cycle de 10 ans est maintenant lancé 😀

Je t’embrasse, 

Lyvia

vague-tiret

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Écrivain, coach en relations et en sexualité, spécialisée en soin des traumas.
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