Mes astuces pour développer ton état d’esprit et ton activité – UVSL #119

Hey hey hey ! Me revoilà !
Je t’avais promis que mon prochain article serait bourré d’idées pour t’aider – eh bien le voici !

Ces dernières semaines je t’ai emmené sur le chemin de l’état d’esprit. On a vu que c’était l’élément essentiel pour développer ton activité – avant toutes les formations en vente que tu pourrais faire – parce qu’il te permet d’avoir de la clarté dans tes décisions, de te faire confiance, de t’affirmer, de vendre, et finalement de gagner de l’argent (c’est toujours bien, un peu d’argent).

Eh puis la semaine dernière, je t’ai montré que même si, pour réussir, la recette est simple (répète après moi : “je sais ce que je veux, je le fais”), c’est loin d’être facile parce qu’il faut un super bon état d’esprit, et qu’honnêtement, c’est pas le truc le plus facile à développer.

Pourquoi ? Parce que des monstres perfides nous guettent et sont là pour nous empêcher d’avancer, dont le fameux Clan des Connasses, qui a eu beaucoup de succès sur les réseaux sociaux la semaine dernière. Ah ! Mais tant mieux, plus elles se font connaître, mieux on peut les dégommer.

Malgré les monstres tapis dans la pénombre qui n’ont qu’une hâte, nous freiner : on s’en fout ! On est au taquet et aujourd’hui, on va voir concrètement comment on va y arriver quand même !

Je te donne ici trois astuces simples ET efficaces.

Hiyah ! C’est parti ! En selle ! On y va ! Youplala !

[bctt tweet=”Trois astuces pour développer ton état d’esprit et ton activité” username=”jemecassefr”]

 

Astuce #1 – Dégommer le clan des connasses en 4 étapes

 

Étape 1 pour Dégommer le clan des Connasses : Les identifier

 

Qui est le Clan des connasses ?

Raaaah, ces connasses ! je t’ai dit que chaque fois que je pense à elles j’ai envie de tout péter ? Tu ne sais pas qui c’est ? Malheureux-se ! J’en parle dans mon dernier article ici. Le Clan des connasses c’est un monstre à plusieurs têtes, perfide et vicieux, qui n’a qu’un objectif : te freiner.

Tu les as déjà entendues.

  • Ce sont elles qui te disent, alors que tu publies ton premier article : “Oh mais c’est nul ! Comment tu peux poster ça ?”.
  • Ce sont elles qui te disent, au moment de signer ton premier client : “Pour qui tu te prends, tu ne vas jamais arriver à donner un travail de qualité ?”.
  • Ce sont même elles qui te disent après un beau succès : “C’était un accident. Ça ne va jamais se reproduire”.

Elles ne le font pas par méchanceté. La vérité c’est qu’elles veulent te protéger d’à peu près… tout. Elles crient “danger” parce qu’elles ne veulent pas que tu te trompes, que tu sois déçu-e, que tu te fasses mal. Elles n’ont absolument aucune notion du fait que des choses positives peuvent arriver si tu prends des risques.

Le Clan des Connasses a été créé lors de la préhistoire quand “prendre un risque” signifiait souvent se balader dans la brousse et se faire empaler par un mamouth (sérieusement, je n’invente pas ça – enfin, pas complètement – le cerveau reptilien, qui serait apparu il y a 400 millions d’années est celui qui décide instinctivement. Il a une réponse immédiate et binaire, avant que les autres parties du cerveau aient leur mot à dire et a entre autres pour objectif d’assurer nos besoins fondamentaux et nous protéger du danger – en lire plus ici et et aussi )

Donc voilà, elles sont pas méchantes, mais c’est quand même des connasses.

 

Comment distinguer ce qu’elles nous disent ?

Comme dit plus tôt, le Clan se manifeste en te susurrant à l’oreille des phrases qui te freinent. Mais attention, ce n’est pas si simple de repérer ces phrases, car les Connasses sont perfides !

Elles sont méga fortes parce que d’une, elles ont tendance à parler de manière si sournoise que tu prends ce qu’elles disent pour la réalité et tu y crois dur comme faire (“bien sûr qu’un CDI est indispensable à ta survie, mais enfin !”), et de deux, elles ne restent pas toujours. Elles crachent leur venin, s’en vont, et toi tu te retrouves tout simplement freiné-e dans ton élan.

Pour les identifier, le meilleur moyen est de faire silence dans ta tête, via la méditation ou l’écriture libre. Ou bien, au moment où tu fais une action importante pour toi, qui peut tout basculer, prête l’oreille et écoute ce qu’elles te disent et note le.
J’en dis plus dans l’article ici

 

Étape 2 pour dégommer le Clan des Connasses : prépare-leur une réponse (et toc !)

Voici les 5 phrases que j’observe le plus venant du Clan des Connasses, chez moi et chez mes clients :

  1. Ce n’est pas encore assez bien pour que tu le montres (ou une variation : “ça doit faire pro, tout de suite !”) hum hum Mme Perfection
  2. Quelqu’un l’a déjà fait avant ! (la plus commune)
  3. C’est possible, mais pas pour toi, plutôt pour tel ou tel genre de personne (ou la variation : “tu n’es pas un-e vrai-e entrepreneur-e / artiste etc.”)
  4. Telle personne sera déçue / en colère / surprise si tu fais ça
  5. Tu ne peux pas te permettre de dire non à ça – tu n’auras pas mieux !

 

[bctt tweet=”Voici les 5 phrases qui te freinent le plus dans ton activité, et comment les maîtriser” username=”jemecassefr”]

 

Tu les reconnais ? Tu les as déjà entendues ? Mon petit doigt me dit que pour certaines, tu ne savais même pas que c’était les connasses qui parlaient.

Maintenant, l’exercice consiste à leur préparer une réponse pour chaque.
Voici la trame de la réponse :

“Merci… mais ta gueule” (#MTEG)

Merci – car il faut avoir de la gratitude (elles te protègent)… ‘mais ta gueule‘ parce qu’il faut qu’elles comprennent bien que tu n’es pas poursuivi-e par un mammouth quand tu prends des décisions pour ton business !

En somme, pour nos 5 exemples :

  1.  Merci, je sais que tu veux me protéger de la honte totale qui va sûrement me suivre pendant des millénaires, mais ta gueule, je préfère le montrer et l’améliorer après.
  2.  Merci, je sais que tu veux me protéger de la lose totale et de la perte de temps de créer quelque chose qui existe déjà ailleurs, quelque part dans le monde, mais ta gueule, je vais faire mon truc, à ma sauce, et les gens qui préféreront ma façon viendront.
  3. Merci, je sais que tu veux me protéger de la déception que j’aurais à essayer et à me louper, mais, tu sais quoi ? Ta gueule, je vais quand même le faire, et au pire j’apprendrai quelque chose.
  4. Merci, je sais que tu veux protéger mes relations. C’est sympa. Ceci dit, ta gueule. Je vais faire mon truc, parce que je passe d’abord. “Les gens qui comptent comprendront. Les gens qui ne comprendront pas ne comptent pas” (“Those who matter don’t mind, Those who mind don’t matter – Dr Seuss)
  5. Merci, je sais que tu veux me protéger de la famine et de finir SDF. Mais en fait, ta gueule. Je vais dire non, parce que j’ai confiance qu’un truc meilleur viendra, tu verras.

[bctt tweet=”#MerciMaisTaGueule – la phrase qui fait taire les voix toxiques” username=”jemecassefr”]

Pheww, ça fait du bien d’avoir ces phrases dans ton arsenal !

Je t’invite à les utiliser une fois que tu repères le Clan qui débarque. N’hésite pas à préparer de nouvelles phrases méga créatives pour leur dire merci et ta gueule. Parfois il faut leur dire plusieurs fois pour qu’elles comprennent le message.

(Psst, tu trouves pas que je dis beaucoup de gros mots sur le site ces temps çi ? On se lâche dis-donc !)

 

Étape 3 pour dégommer le Clan des connasses – Se rebeller et passer à l’action

Une fois que tu as rétorqué ta phrase pour dire MTEG*, ce n’est pas terminé !
Maintenant, tu vas devoir passer à l’action et leur prouver pour de bon que tu le fais, et que même si tu apprécies leur commentaires tu ne suivras pas forcément leur conseils.

Alors passe à l’action !

  • Le Clan te dit de ne pas faire de vidéo ? Fais une vidéo !
  • Le Clan te dit de ne pas montrer ton manuscrit ? Montre ton manuscrit !
  • Le Clan te dit de ne pas envoyer ce mail ? Envoie le mail !
    (mais n’oublie te lui dire METG* avant hein)

(*ça suffit les gros mots !)

Étape 4 – Félicite-toi et partage

Bravo ! Bravo ! (avec l’accent anglais) Clap ! Clap ! Clap !

Tu peux fêter ton premier dégommage du Clan. Ce n’est pas chose facile, car elles sont tenaces et tu l’as fait. Well done!

C’est comme un muscle : plus tu le fais, plus tu as l’habitude, et des fois, il suffit que tu lui dises “parle à ma main” et le Clan s’en va #Winning

Pourquoi c’est important et pourquoi ça marche ?

Il y a deux articles je crois, je t’ai parlé d’une phrase que le Clan m’a répété après mon premier lancement. C’était assez violent : “Cette réussite, c’était un accident, ça ne se reproduira jamais”.

C’était vraiment très dur pour moi d’entendre ça, parce que j’étais tellement heureuse pendant, allez, quelques heures (l’effet de la surprise), eh puis le soufflet est retombé. J’ai travaillé dessus, et sur le fait que je suis assez bien, et maintenant, je n’ai plus l’impression que mes réussites sont des accidents.

Quand le Clan veut me dire : “Attention, c’était bien, mais ça ne se reproduira sûrement pas”, je brandis un grand panneau mental avec :
“Merci, je sais que tu veux me protéger de la déception, mais ta gueule, parce que je suis trop forte, que je déchire et que c’est que le début. Attends pour voir ! Mouhahah.”

Elles ne viennent même plus, je te dis.

Résultat, je poursuis sur ma lancée, je ne suis pas freinée dans mes lancements, et mon activité grandit tranquillement.

Et ce sera pareil pour toi : en travaillant sur ton état d’esprit et en faisant taire le Clan des connasses, tu avanceras plus vite dans ton activité, tu seras en mesure de prendre des risques et accéder à des opportunités que tu n’aurais pas pu envisager avant. Tu auras aussi des résultats que tu n’aurais pas pu obtenir avant.

Mais attention, elles viennent toujours pour autre chose, et c’est en te rôdant que tu sauras leur répondre avant qu’elles causent des dommages et te paralysent pour des semaines !

 

Astuce #2 – Prendre soin de toi et te faire passer en premier, parce que tu le vaux bien

 

Pourquoi c’est important, et pourquoi c’est si difficile à faire ?

C’est LE truc le plus important, mais tout le monde a la honte de le faire. S’il y a trois ans, tu m’avais dit : “Lyvia, le plus important, c’est de te faire passer en premier et de prendre soin de toi”, j’aurais répondu : “HA HA HA HA HA… HAHAHAHA”.

C’est quoi cette idée de hippie, franchement ? (pardon, les hippies, je vous aime).

Je ne sais pas pour toi, mais j’ai grandi catholique, et dans ma religion, eh bien c’est simple – te faire passer en premier, c’est MAL.

Ça dénote un manque de générosité. Cela veut dire que tu n’es pas prêt à te déshabiller pour habiller le voisin, et ce n’est vraiment pas cool. La religion catholique – la chrétienté en général – et la religion juive ont fourni les fondements de la société française (quand a la télé on répète “dans notre société judéo-chrétienne”, c’est ce qu’ils veulent dire). La contrition, le sacrifice, le labeur sont valorisés dans notre société, jusque dans nos entreprises (nos… sociétés).

Alors prendre soin de toi et te faire passer en premier : HA HA HA HA. Ce n’est pas dans notre culture, c’est limite mal vu, et souvent, on ne nous a pas appris comment faire. Et pourtant c’est tellement important. Une amie m’a dit récemment : “on ne peut donner que ce qu’on a” et c’est tellement vrai. C’est sympa de donner ta chemise au voisin, mais si tu finis par mourir de froid à cause de ça, tu ne pourras plus en passer beaucoup, de chemises.

[bctt tweet=”On ne peut donner que ce qu’on a. Quand on prend soin de soi, on peut prendre soin des autres.” username=”jemecassefr”]

C’est comme quand on te dit dans l’avion de mettre ton masque à oxygène avant d’aider les autres à mettre le leur, parce que (#lescoop) si tu es en train de suffoquer parce que tu aides ton voisin, c’est probablement la dernière personne que tu vas aider. Bref, c’était morbide, mais tu as compris.

Donc prendre soin de toi, t’occuper de toi, te bichonner, c’est important, parce que ça te met dans la disposition d’avoir un état d’esprit positif (qui n’aime pas se faire bichonner?) mais surtout, dans le cadre de ton activité, ça te permet de prendre soin des autres.

A ton tour : Identifie un à 3 endroits où tu ne prends pas assez soin de toi.

Quand on démarre une activité en indépendant, on a tendance à tout vouloir donner. On se dit que c’est la clé. Et que si on ne fait pas ça, si on est pas à fond H24, alors ça ne va pas marcher. Mais c’est tout le contraire : si tu ne prends pas soin de toi, tu ne peux pas prendre soin des autres. Voici 5 exemples de choses que l’on fait, en croyant “bien” faire, mais qui en fait, nous desservent parce qu’elles mettent notre propre bien-être en danger :

1 – Tu ne dors pas assez

Par exemple, tu travailles tard pour respecter des dealines, ou tu te lèves très tôt pour aller à des réunions. Et tu n’as pas le nombre d’heures de sommeil dont tu as besoin. Nous avons chacun un nombre d’heures de sommeil optimal – pour moi c’est entre 7h30 et 8h. En dessous de ça, je suis complètement inutile pendant la journée. Il est possible qu’en dessous de ton nombre d’heures optimal, tu sois aussi inutile pendant la journée (#sorrybutnotsorry).

2 – Tu ne fais pas de pause pour faire pipi

Je sais, je sais, ça a l’air bête comme ça, mais combien de fois t’es tu retenu-e d’aller aux toilettes parce que tu finissais… juste un truc ? Un truc qui devait prendre 30 secondes, et qui finalement prend 15 minutes, voire une demi-heure. Je n’ai pas étudié les effets physiques de se retenir longtemps d’aller aux toilettes, mais en tout cas, il est fort probable que tu aies du mal à te concentrer, que tu sois agaçé-e, et que le travail que tu fais pendant ce temps ne soit pas le top de ce que tu peux fournir.

3 – Tu dépenses beaucoup d’argent pour ton activité et peu pour toi

Par exemple, tu t’achètes de nombreuses formations en te disant que c’est pour toi et en plus, ça développe ton business, mais tu préfères ne pas t’acheter de vêtements, ou de parfum, des choses qui ne sont que pour toi, parce que “tu veux que le business décolle avant”. Mais tu mérites autant d’avoir cet argent que la personne qui te vend la formation (même si c’est moi ! ;-)). Parce que, qu’est-ce que ça crée sinon ? Frustration, ressentiment, et tu te lèves un matin en te disant : “mais pourquoi je travaille autant ?”

4 – Tu ne dis pas non aux “petits services rapides”

On a vu ça il y a quelques temps, l’importance de dire non par défaut quand on te propose des projets. Mais là je veux aller à un niveau encore plus bas. T’arrive-t-il qu’on te demande un “service rapide qui prendra deux minutes” et que tu dises oui alors que tu as tes propres choses à faire ?

Ou pire, tu dis oui parce que “tu ne fais rien, tu es juste en train de te reposer”, comme si te reposer ne comptait pas ? Ça interrompt le flux de ce que tu faisais, ton attention est détournée, et ça rend d’autant plus difficile le retour à la tâche que tu étais en train de faire (même si c’était regarder une série !) (oui, je suis obsédée des séries)

5 – Tu oublies de manger

Je dois l’avouer, ça m’arrivait très souvent à la naissance de JMCS. Est-ce que ça t’arrive, d’être tellement concentré-e dans ton travail que tu en oublies de faire une pause pour manger? Est-ce que ça t’arrive de lever les yeux, de voir qu’il est déjà 14h, et de te dire “bah, je prendrai juste un snack” ? Et finalement soit tu manges très tard, soit tu continues le ventre vite, et tu arrives à la fin de la journée avec zéro énergie pour profiter de la soirée ? J’avais vu cette phrase dans un restaurant à Paris : un estomac creux | Je me casse Je pense qu’ils savent de quoi ils parlent ! Toutes ces petites choses, qui peuvent sembler bégnines sont en fait très graves si répétées sur la durée. Je suis coupable de chacune d’entre elles.

Laquelle de ces cinq choses fais-tu ?

Dans cette liste, y a-t-il un point dans lequel tu te reconnais particulièrement ? Est-ce le manque de sommeil ? Le fait de ne pas prendre de pause toilettes ? Le fait de ne pas dépenser pour toi ? Le fait de ne pas dire non ? Ou le fait d’oublier de manger ?

Choisis une de ces choses. Si tu ne te reconnais dans aucune, essaie d’identifier un aspect de ta vie où tu ne prends pas soin de toi autant que tu le devrais, où tu ne te fais pas passer en premier. Maintenant, décide d’une chose que tu peux faire dans les prochaines 24h pour faire ça basculer, même quelque chose de tout petit. Exemples :

  • Mets ton réveil 15 minutes plus tard, ou va au lit 15 minutes plus tôt ;
  • La prochaine fois que tu veux aller aux toilettes, vas-y ;
  • Achète toi un petit cadeau, qui a pour seul et unique but de te faire plaisir ;
  • Prends une heure de la journée où tu coupes le téléphone, internet et focalise toi sur ce que tu as envie de faire – que ce soit du travail ou pas – sans te laisser interrompre ;
  • Mets une alarme à l’heure du déjeuner pour te préparer à manger, ou commander quelque chose à manger.

 

                  L’objectif c’est d’agir dessus dans les 24 heures ! Même quelque chose de petit. Viens nous dire dans les commentaires de cet article une fois que c’est fait !  

Pourquoi ça marche, pourquoi c’est important et ce que ça va changer pour toi

Je n’ai pas de sources scientifiques pour te le prouver (je chercherai !), mais je fais appel à ta propre expérience : Quand on se sent bien, quand on est reposé, quand on est bien habillé, qu’on vit dans un bel intérieur, alors on est dans un état d’esprit positif.

On est plus concentré, plus disposé à créer et surtout on a plus d’enthousiasme car on n’a pas ces petits tracas. Et je te rappelle, les petits tracas causent du ressentiment, et le ressentiment s’accumule, jusqu’à ce qu’on arrive à ne plus avoir rien envie de faire. Ensuite, je disais plus tôt qu’on croit que lorsqu’on est très occupé, on est plus efficace : ce n’est pas toujours vrai.

[bctt tweet=”Plus occupé ne veut pas toujours dire plus efficace. Au contraire !” username=”jemecassefr”]

Parfois, 3 heures de travail sont équivalentes à une heure de pause et 2 heures de travail. Pourquoi ? Parce que pendant cette pause, on a fait silence sur le côté ‘boulot’, on a pu recharger sa créativité, et ainsi quand on redémarre, on s’est débarassé de la fatigue, voire de la frustration cumulés avec la session de travail d’avant.

As-tu remarqué que les meilleures idées viennent sous la douche, quand on cuisine ou qu’on fait le ménage ? C’est parce qu’à ces moments là, notre cerveau est occupé à une tâche, et du coup le mental (qui contient le Clan des connasses) n’est pas là pour filtrer les idées qui viennent. Et une fois que tu as l’idée, tu peux t’y mettre tout de suite !

Et ainsi tu as gagné du temps. Plus tu multiplies ces temps de pause pour remplir de nouveau ton ‘puits’ d’énergie et de créativité, plus le travail qui suivra sera meilleur. Et tu sais quoi – en prenant soin de toi, tu auras un meilleur état d’esprit, plus positif, plus zen, plus reposé. Tu produis un meilleur travail pour tes clients, qui parleront plus de toi ! Ainsi, tu as plus confiance en toi : tu arrives davantage à te mettre en avant, et c’est tout bénef pour ta visibilité.  

 

 

Astuce #3 – Prépare-toi au meilleur : il pourrait bien t’arriver maintenant !

Tu sais comment on se dit : “je m’attends au pire, comme ça je ne serai pas déçu-e” ? C’est la technique que la plupart d’entre nous avions au moment de passer les examens. En se disant, on verra bien, je m’attends à X, comme ça si j’ai plus, je serai content.

Mais c’est carrément une mauvaise stratégie ! Je t’ai expliqué ici comment un pari m’avait fait gagner mes premiers 10 000 euros, et comment je les ai eus à 240 euros près (en plus). Si je m’étais dit : “j’espère 0, comme ça si j’ai mieux c’est bien”, je peux t’assurer que je n’aurais pas atteint les 10 000 !

Je crois qu’on obtient ce qu’on croit possible. Alors autant te mettre dans la position où ce que tu crois possible est TRÈS positif.

Voici ce que tu peux faire :

–> Tout d’abord, visualise un échéance, ou un résultat que tu attends.
Par exemple, tu as bientôt un entretien, et tu veux être pris-e pour un job.
Tu dois passer un examen, et tu veux le passer haut la main.
Tu lances un nouveau produit, un nouveau service, et tu veux avoir un certain nombre de vente.

C’est bon, tu as visualisé ?

–> Maintenant, imagine toi juste après que tu aies eu le résultat, et que le résultat est positif, celui que tu espérais.
Qu’est-ce que tu ressens ? Comment tu te sens ? Fier-e, heureux-se, excité-e ?

–> Reste à cette date dans le futur – juste après avoir eu le résultat – et écris-toi un message de félicitations !
Par exemple :
Nous sommes le [date]. Bravo à toi [ton prénom], tu as vraiment déchiré cette interview. Tu as été clair-e, convaincant-e, drôle, spontané-e et on t’a adoré ! Well done.

Ou bien
Nous sommes le [date]. Félicitations [ton prénom], tu as atteint x nombres de ventes. C’est trop bien !!!

Tu peux noter ce message sur une feuille, l’enregistrer ou même le mettre en fond d’écran de ton téléphone.

Attention : au moment où tu l’écris ou quand tu l’enregistres, interdis-toi de douter, juste pour 5 minutes. 5 minutes pendant lesquelles tu te mets dans la peau de la personne du futur qui a réussi.

Que faire de ce message ?

Un peu avant l’échéance – avant l’entretien, l’examen, ou au moment d’écrire le mail pour annoncer ton nouveau produit, relis le message ou réécoute le. Quand tu le relis, tu dois vraiment y croire, et ne pas douter (tu pourras toujours douter après). Imagine que tu y es déjà. Et ensuite, dans les minutes qui suivent, fais l’action !!

Si c’est sur la durée – par exemple, si comme moi tu as des inscriptions ouvertes pendant une certaine période, ou que tu organises un événement sur la durée, relis ou réécoutes ce message tous les jours.

Pourquoi ça marche + ce que ça va changer pour toi :

Dans cet article, nous avons vu que lorsque l’on se concentre sur le positif, alors des choses positives arrivent. Tu te rappelles l’exemple des personnes qui lisaient le magazine ? Certaines se définissaient comme chanceuses, alors que d’autres comme malchanceuses.

On leur a demandé de compter combien de photos il y avait dans un magazine. Eh bien les ‘chanceux’ ont fini de compter bien plus vite que les ‘malchanceux’. Pourquoi ? Parce que les chanceux étaient plus nombreux à voir le message : “Arrêtez de compter : il y a 43 photos dans ce journal” alors que les “malchanceux” étaient trop occupés à compter pour ne pas se tromper.

Comme quoi, avec une même opportunité, en fonction de si tu te considères comme étant chanceux ou pas, le résultat peut changer. Conclusion : considère toi chanceux-se, et tu le deviendra sûrement !

[bctt tweet=”Considère-toi comme chanceux, et tu le deviendras sûrement !” username=”jemecassefr”]

 

Ainsi ce que tu vas ressentir, ton état d’esprit, ton attitude vont avoir un impact sur ton action du moment. En entretien, tu te tiendras peut-être plus droit-e, tu auras l’air plus assuré. En écrivant ton email, tes mots seront plus enthousiastes et on voudra te faire confiance.

Peut-être as-tu déjà entendu dire que la première impression est donnée à 55% par le langage corporel, 38% par le ton de la voix (voir recherches de Albert Mehrabian)? Ces données sont encore discutées, mais tu imagines que si c’est vrai, cela veut dire qu’arriver avec la pêche et un ton de voix enthousiaste à un rendez-vous peut grandement t’aider.

 

Pour aller plus loin, tu peux t’écrire un message de félicitations via futureme.org, et le programmer pour le recevoir juste avant de passer à l’action. Comme ça tu ressentiras la surprise et l’excitation, comme si c’était un ami qui t’écrivait. Plutôt que ‘bonne chance’, il te dit ‘bien joué’, comme si tu y étais déjà !

Cet état positif, de winner, peut faire une grande différence dans ton activité. Tu vas aborder les rencontres, les situations difficiles et stressantes avec plus de confiance. Cette confiance sera communiquée autour de toi, et c’est ainsi que tu seras en mesure de rallier une communauté à ton projet, et au final, de vendre ! Et qui dit ventes, dit business qui grossit (yay!)

 

En Conclusion

Voilà, je t’ai donné trois astuces hyper concrètes pour travailler sur ton état d’esprit, et ainsi faire grandir ton activité avec plus de sérénité. Tout ce que je te souhaite, c’est de t’y mettre et d’intégrer ces astuces dans tes nouvelles habitudes. Mais d’expérience je sais que ce n’est pas facile. Tu vas lire l’article, tu vas dire ‘oui, trop chouette’, et après, tu vas peut-être zapper.

Du coup je te propose qu’on intègre ces habitudes tous ensemble pendant un challenge gratuit de 7 jours : Le Challenge des Possibles.

**Le challenge des Possibles est maintenant fermé

 

Si tu souhaites continuer à développer ton état d’esprit et ton activité, je te rappelle que mon nouveau programme, l’Académie des Possibles, va bientôt ouvrir ses portes.

Je serai ravie de t’accompagner (mega excitée même) pour développer un état d’esprit positif et constructif qui te permettra de vivre de ce que tu aimes. L’objectif pour toi : prendre des décisions rapidement, savoir saisir les opportunités quand elles viennent, apprendre à te concentrer sur l’essentiel, faire grandir ton activité (et gagner de l’argent) dans le plus de sérénité possible, tout ça en étant bien entouré-e.

J’ai hâte ! En attendant, on se retrouve au challenge !

vague-tiret

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Je suis Lyvia Cairo

Écrivain, coach en relations et en sexualité, spécialisée en soin des traumas.
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